1. Tatiana II


    Datte: 28/09/2018, Catégories: Anal Transexuels Première fois Auteur: TatianaV, Source: xHamster

    ... retourné la tête. J’étais déçue au fond et je me disais que la vodka (mon péché mignon) était bien plus violente. Mais rapidement je ne pouvais me passer ni de l’un ni de l’autre. C’était arrivé comme çà...Sans crier gare, quand on pas d’argent, se payer des barrettes çà craint !! J’ai vite compris que certaines choses pouvaient me rendre service. Ma science de la fellation en particulier. En moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, je suçait la plupart des dealers pour avoir un peu de came. C’était les vacances et j’avais pu jouer la liberté car pas d’école, mais la rentrée arrivait à grand pas. Je bataillais avec mes parents pour ne pas retourner en internat, je voulais le soir retrouver mes ami(e)s et nos conneries, beuveries et came. A ma grande surprise j’ai eu gain de cause, encore une victoire à la Pyrrhus car là intervint ma descente aux enfers.
    
    Je suis maintenant consciente que la chute à commencé avec la consommation de drogue et d’alcool. J’étais déjà mal dans ma peau, tourmentée, inconsciente de la vie, oh oui quelques joints çà ne te retourne pas la tête, çà détend les problèmes se planquent dans ton cerveau mais ils sont là a te bouffer sans que tu le comprenne. Avec l’alcool qui me désinhibait, j’étais capable de n’importe quelle connerie et je crois les avoirs toutes commises. Dépendance qui me coûtait cher, très cher, trop cher. Comme ressource j’avais le peu d’argent donné par mes parents et un peu d’économies suite a des cadeaux de mes grands ...
    ... parents. J’avais contrairement a beaucoup de jeunes un petit magot de quelques milliers d’euro. Inutile de dire que çà a fondu en un clin d’œil. Et quand mes parents se sont rendu compte de cette disparition de mes économies ils ont posé des questions. Mes relations avec eux sont devenues, impossibles et avec le régime que je suivais j’étais aussi facile à manier qu’un hérisson. Quand je n’avais pas cours, je m’habillais comme je le voulais au désespoir de ma mère et de mon père, mes cheveux étaient longs me tombant sur les épaules. Déjà j’étais convaincante, et je voyais les mâles se retourner sur mon passage, naturellement je n’étais pas sobre et effacée, plutôt provocante avec des jupes si courtes qu’elle ressemblaient a des ceintures et qu’il était impossible de m’asseoir sans montrer les dessous. C’est a cette époque qui j’ai appris à cacher mon sexe entre mes cuisses, je suis assez douée à ce jeu. C’est toujours ainsi maintenant. Si j’ai envie d’aller au bout de ma transition, c’est pour accomplir ce que je pense être mon destin, mais plus j’y pense sérieusement plus les bienfaits d’un changement de sexe total me paraissent peut être trop insurmontables. Surtout que je n’ai pas comme certaines, une sorte de haine pour ce sexe, non il me donne du plaisir, j’aime que l’on s’occupe de lui et j’ai peur de perdre la capacité de prendre du plaisir dans cette lourde modification. Je ne suis pas une déesse de beauté, je ne suis pas mal faite, le traitement hormonal est pour moi une ...
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