1. Découverte et Initiation


    Datte: 05/02/2018, Catégories: fh, fplusag, médical, fdomine, nopéné, h+medical, hsoumisaf, Auteur: Bastian, Source: Revebebe

    ... qu’on va en rester là. Malheureusement, elle continue :
    
    — Allez donc vous allonger sur la table, et baissez votre pantalon ainsi que vos sous-vêtements…
    
    Je marque un temps d’hésitation, elle le voit, et poursuit en me lançant un sourire très doux :
    
    — Eh oui, il faut quand même bien que je vous ausculte.
    
    Le chaud aux tempes, je me dirige vers la table, enlève mes chaussures, et commence à défaire mon pantalon. Une fois allongé, je baisse mon pantalon ainsi que mon caleçon. La doctoresse me rejoint. Consciente de ma gène, elle se veut rassurante :
    
    — Ne vous en faites, détendez-vous, ça ne sera pas long.
    
    Et elle commence à me palper le pénis. Heureusement, son toucher est vraiment ferme et très peu agréable.
    
    — En effet, je sens bien quelques petits nodules, dit-elle. Et ils ne sont pas douloureux ? ajoute-t-elle en en pinçant un légèrement.
    — Non, je ne les sens pas du tout.
    
    Elle lâche alors mon pénis, et se dirige vers son bureau. Je peux à nouveau respirer et me détendre un peu. Fatale erreur : c’est précisément à ce moment, alors que la doctoresse vient de me lâcher le membre, que je sens un frisson bien connu parcourir celui-ci, signe avant-coureur d’une érection imminente. Heureusement, la doctoresse me tourne le dos, occupée à compléter sa feuille de soin. J’en profite pour remonter rapidement caleçon et pantalon, quand elle se retourne brusquement :
    
    — Attendez, ne vous rhabillez pas tout de suite, j’aimerais…
    
    Elle s’interrompt soudain à ...
    ... la vue de ma verge majestueusement dressée, que je n’ai pas eu le temps d’enfouir dans mon caleçon. Je la vois écarquiller les yeux, et lâcher un « Oh » presque révérencieux. Puis elle ajoute en me regardant d’un air amusé :
    
    — On dirait que vous étiez content que ça se termine !
    
    Je ne sais plus ou me mettre, je bafouille quelques mots d’excuse, mais la doctoresse me rassure à nouveau :
    
    — Ne vous en faites pas, c’est une réaction toute naturelle. J’en ai vu d’autres dans ma carrière de médecin, ne vous inquiétez pas !
    
    Elle poursuit :
    
    — En plus, si je puis me permettre, c’est très bien, parce que ça va sans doute permettre de vous rassurer un peu.
    
    Devant mon air inquiet, elle me demande :
    
    — J’imagine que vous êtes allés vous renseigner sur le net avant de venir consulter ?
    
    Je le lui confirme. Elle me demande ce que j’ai lu, je lui parle de la maladie de Lapeyronie, en ne lui cachant pas que j’étais pour le moins inquiet. Elle me sourit d’un air doux, et tente de me rassurer :
    
    — Non, ne vous en faites pas, je connais un peu cette pathologie, et honnêtement, pour moi, ce n’est pas ça du tout.
    
    Tout en continuant à me parler, elle saisit ma verge toujours tendue, entre le pouce et l’index :
    
    — Vous voyez, sur la maladie de Lapeyronie, on observe plutôt des plaques rigides sur la verge, et non pas des nodules comme sur la vôtre.
    
    Tout en me disant ça, je sens ses deux doigts parcourir doucement le corps de mon pénis, à la recherche desdits nodules. ...
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