1. Le désespoir de mon père... (1)


    Datte: 28/09/2018, Catégories: Transexuels Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... sexe de César n’était pas trop gros (juste dans la normale, c’était le terme employé...), mais qu’il était long... qu’elle l’avait apprécié et que César saurait être doux comme il l’avait été avec elle !
    
    Lorsque j’ai senti le gland peser sur ma rondelle, je me suis souvenu de ce que Judith m’avait dit : j’ai poussé pour m’ouvrir à la pénétration... Une fois le gland passé, j’ai senti la lente progression du phallus de César dans mon fondement... Je n’avais pas mal... et quand il a commencé à aller et venir dans mon conduit étroit, j’ai rapidement apprécié la montée de la jouissance dans mes reins.
    
    ENFIN, j’avais la bite d’un homme en moi !
    
    César prenait son temps... Mon sexe mal rabougri ne bandait même pas comme Judith m’avait dit que cela pourrait arriver...
    
    Et mon plaisir a été complet lorsque j’ai senti les jets de sperme de César pulser au fond de la capote !
    
    Il est resté en moi quelques minutes puis il est sorti...
    
    Il avait été doux et j’avais eu beaucoup de plaisir lorsqu’il avait joui au fond de mon cul.
    
    Désormais, nous étions nus tous les trois... Judith était venue nous rejoindre sur le divan et nous bavardions comme de vieux amis... Les mains de ma sœur sont venues retrouver les miennes qui jouaient avec le sexe de César, si au début bandait à moitié pour finalement se dresser droit comme un I sur son pubis...
    
    — Regarde... César ...
    ... t’attend ! Enjambe son corps en étant face à lui et laisse-toi glisser sur sa bite... Ainsi, c’est toi qui vas mener la pénétration... Tu verras... ça va être génial !
    
    J’ai suivi les conseils de Judith et bientôt, le sexe de César était de nouveau au fond de mon sphincter alors que ses mains posées sur mes seins agaçaient les tétons... Ils n’avaient jamais été aussi sensibles et sortis de l’aréole ! Mon minuscule sexe de garçon était agité entre mes jambes, mais il restait inerte quand j’ai commencé à monter et à descendre sur la bite de César...
    
    Je me sentais tellement bien que par trois fois, j’ai fait monter ma jouissance pour la laisser refluer ensuite... mais César n’en pouvait plus... je l’ai senti gicler au fond de la capote et je me suis laissé aller, jouissant comme une furie sur ce pieu qui avait ouvert la voie de mon cul !
    
    Je suis retournée voir César à plusieurs reprises... Je n’avais plus besoin d’être chaperonnée... Je savais pourquoi je venais voir ce nouvel ami : faire l’amour avec lui et bientôt avoir d’autres amants que je ne rebuterais pas... et en une année, j’en ai vu (et senti) passer pas mal...
    
    Désormais, j’étais une femme pratiquement entière... il n’y avait que cette minuscule bite qui me rappelait ma condition d’homme...
    
    Mon père se désolait de me voir aussi efféminé et ma mère ne disait rien : elle me laissait vivre ma vie ! 
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