1. Marie et le sculpteur aveugle (11)


    Datte: 27/09/2018, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory

    ... derrière elle, je masse ses seins doucement. Ses tétons sont encore durs.
    
    On reste là un bon moment avant de se reprendre. Brigitte, de son pied, continue de jouer avec le membre du Prof, affaissé mais toujours très volumineux et qui suinte des restes de son éjaculation.
    
    Lucien gémit doucement, profitant de ce moment unique de félicité.
    
    Vicieuse ou joueuse, elle s’amuse à soulever sa bite à moitié flasque pour la faire retomber sur ses cuisses, un coup à gauche, un coup à droite. La grosse bite bave et s’écrase avec un bruit mat et humide parfaitement dégoûtant. Elle rit.
    
    Puis on libère le Prof. Je m’attends à une réaction mais il nous lance juste avant de quitter la maison : « J’étais juste venu voir si tout allait bien ; je suis rassuré »
    
    Brigitte et moi, assises sur le lit, enlacées sourions de satisfaction et le regardons partir, nu, les vêtements à la main.
    
    Plus tard dans l’après-midi, nous sommes allés dans sa piscine où nous avons encore passé de longs moments d’érotisme torride.
    
    Nous étions hypnotisés par la beauté de nos corps respectifs qui se ressemblaient tellement.
    
    Nous sommes restées nues toute la journée pour notre plus grand bonheur et avec un peu d’insistance, le Prof est aussi resté sans vêtement aucun...
    
    C’était la première fois. Quel pied de voir cet homme magnifique déambuler et nager avec nous dans le plus simple appareil.
    
    Une journée nudiste ! Lucien n’a pas beaucoup travaillé ce jour-là et a passé la majeure partie de ...
    ... l’après-midi avec nous dans l’eau turquoise, le sexe à moitié bandé en permanence.
    
    Nous avons joué à nous attraper dans le bassin comme des gamins. C’était excitant, naïf et d’une telle spontanéité.
    
    Un moment de bonheur absolu qui s’est fini sous la douche pendant un temps interminable.
    
    La plus belle journée de toutes qu’aucun d’entre nous ne voulait qu’elle se termine.
    
    On l’a d’ailleurs finie dignement dans ma maisonnette où Brigitte m’a demandé de lui couper les cheveux pour mieux me ressembler encore.
    
    Bien que n’étant pas coiffeuse, je ne m’en suis pas mal sortie et le résultat est bluffant. On se regarde côte à côte dans le miroir en souriant et nous enlaçons avant de tomber de sommeil dans les bras l’une de l’autre.
    
    LE PREMIER DRAME
    
    Et puis le lendemain..., la nouvelle est tombée...
    
    La mère d’Alain et Brigitte est décédée.
    
    Alain est venu me voir pour me l’annoncer.
    
    Il est effondré car il était plus proche de sa mère que Brigitte qui n’a pas l’air aussi affectée et accepte la nouvelle avec philosophie mais a perdu sa bonne humeur et ne s’attarde pas chez moi.
    
    Bizarrement, je suis plus touchée qu’elle et ne peux retenir mes larmes. Alain et moi nous enlaçons en pleur.
    
    En fait, je suis surtout triste pour Alain qui, sous le choc de la nouvelle, ne s’est même pas étonné de trouver sa sœur chez moi et n’a même pas relevé sa nouvelle coupe de cheveux.
    
    J’essaye de lui remonter le moral en lui disant qu’il a été un bon fils qui a accompagné sa ...
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