1. Corinne, Philippe et Moi


    Datte: 25/09/2018, Catégories: hh, fhh, hbi, couplus, copains, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe hsodo, init, inithh, Auteur: Fanfouetix, Source: Revebebe

    ... mains pétrissaient ses fesses. Alors que mes jambes, qui étaient jusqu’alors enserrées entre les siennes, s’écartèrent et se levèrent pour encadrer son bassin. Son corps descendant toujours, son gland titillait maintenant mes testicules, alors qu’insensiblement, je remontais mes jambes…
    
    À l’approche de Corinne, nous reprîmes vite une attitude plus « décente » (même s’il pouvait sembler incongru de rester dans la position où elle nous avait laissé plus de dix minutes !). Restant dans l’encadrement de la porte, d’un air las, elle nous dit :
    
    — Je vous laisse les garçons, je vais dormir à côté du petit, vous n’avez qu’à continuer sans moi.
    
    Sans plus réfléchir à ce qu’elle nous avait dit, tout à notre plaisir, nous reprenons notre ouvrage au bruit de fermeture de la porte de la chambre. Ses lèvres sur mes seins, mes mains sur ses fesses, son sexe contre le mien… Je ne sais si ce sont mes mains qui ont guidé son bassin ou si elles ne faisaient qu’accompagner son mouvement, mais son sexe continuait sa descente, à la base de mon sexe, contre mes testicules, jusqu’à s’engager dans mon sillon fessier. Son gland vint se lover contre ma rosette humide et détendue par l’excitation. S’est-il avancé ou est-ce mon bassin qui est venu à sa rencontre ?
    
    Le gland a commencé la pénétration… Réalisant brutalement ce qui était en train de s’accomplir, il lève d’un coup la tête pour m’interroger du regard. Constatant ma totale acceptation, son visage se détend et j’y vois remerciements ...
    ... et admiration à mon égard.
    
    Il se penche alors et vient m’embrasser sur la bouche. J’accepte son baiser fraternel.
    
    Encouragé par notre totale connivence, le gland poursuit son exploration en « terra incognita ». Ses yeux sont toujours dans mes yeux. Ma main gauche sur son bassin et mes jambes relevées guident ou freinent la pénétration. Lorsque le passage est un peu plus rude, ma main droite vient chercher sa tête pour pousser sa bouche sur mes seins. C’est une force puissante qui entre dans mon ventre, et je m’ouvre pour faire corps avec lui.
    
    Nous sommes enfin bassin contre bassin. Nos corps immobilisés après cette longue tension. Nos bouches se cherchent et s’embrassent totalement.
    
    Puis nos bassins s’activent. Mes chairs maintenant détendues encaissent les coups de buttoir, alors que la stimulation de ma prostate me procure des plaisirs nouveaux. Nous sommes déchaînés. C’est comme si toute notre énergie contenue en attendant Corinne ou après avoir patienté pendant la lente pénétration se défoulait soudain, déferlant pour trouver vite une issue. C’est moi qui écarquille les yeux maintenant.
    
    Nous continuons dans cette position, nous haletons, nous suons de fougue, avant que Philippe explose en moi et que j’éjacule entre nous deux pendant qu’un éclair de jouissance nouvelle part de mes reins, remonte le long de ma colonne vertébrale pour m’irradier le cerveau.
    
    Totalement vidés, nous nous laissons aller l’un contre l’autre. Nous reprenons peu à peu nos esprits. ...