1. Mais oui, c'est elle 2


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... elle me tente au lit. Elle tient à mettre en évidence que je ne lui fais pas assez l'amour. Sa main tâte, caresse, glisse vers mon bas ventre. Elle va réveiller mon sexe alors que je voulais faire grève. Elle a senti le malaise. Elle construit sa future défense. Je l'entends se plaindre et plaider :
    
    - Je t'ai parlé, j'ai essayé, tu n'as pas réagi, tu m'as délaissée, alors, j'ai cherché ailleurs.
    
    Cette main sur mon pénis au repos, ce prétexte trop facile, sa tentative timide, pas vraiment appuyée, ça sent le piège. Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis. Je change mon plan. Elle fait semblant d'en vouloir, je vais lui en donner. Je plaque sa main sur ma verge qui se réveille. Mon sexe est prisonnier de cette main, elle-même prisonnière de la mienne. Le sang afflue, je grossis, je prends de l'importance, du volume, de la longueur, de la raideur. Mon prépuce commence à se décoller. Piégée elle joue le jeu.
    
    - Ah ! Je savais bien, tu faisais semblant. Hum, tu ne peux pas me faire croire que tu n'as pas envie de moi. Crapule. J'ai envie, envie de toi, envie d'être baisée. Allez laisse-moi faire.
    
    Elle me fait tourner sur le dos, prend l'initiative, elle se jette sur moi, colle ses lèvres sur ma bouche, m'embrasse fortement, langoureusement, amoureusement. Eh ! bien, l'événement de l'après-midi a des conséquences inattendues. Ce type l'a trouvée belle, baisable, l'a payée et surtout lui a offert pour samedi prochain argent et volupté. Elle devra attendre. Résultat : ...
    ... il lui a chauffé le sang, il a excité ses sens, il lui a mis le feu à la chatte . Dans l'immédiat, le mari devient le pompier de service. Elle me masturbe et m'embrasse, elle me déclare qu'elle m'aime.... amour, toujours...caresses...
    
    - Laisse-moi faire, on va s'aimer he hé
    
    Elle repousse drap et couverture, elle bouge, sa bouche attrape mon sexe , son sexe se poser sur ma bouche. Je réponds, nous voilà partis pour un joyeuxj soixante-neuf, formidable.Elle agite la base de ma queue, en suce le gland, avale quzelques centimètres de mon membre, la bouche va, vient sur le cylindre en expansion. Je ne suis pas en reste. Mes doigts ouvrent l'abricot, trouvent la mouille déjà débordante des petites lèvres, ouvrent encore, séparent, entrent, cherchent la profondeur, en quête des terminaisons nerveuses du vagin. Elle geint, elle pousse les habituels petits cris du début de nos câlins. Elle gémit mais suce plus fort, crispe ses doigts sur mes couilles. Je frotte, je lèche, ma langue s'énerve sur le clitoris en transes. Elle crie :
    
    - Oh ! mon amour. Que je t'aime, prends-moi. Quoi, tu préfères... Bon, t'es en grande forme, je monte sur toi, je te chevauche. J'aime toutes les positions avec toi. Oh, je descends sur ta hampe, ça glisse tout seul, tu es au fond. Que c'est bon.
    
    Habituellement cela se passe en silence. Là, elle commente, elle annonce son envie de tourner autour de mon essieu, de se tenir à mes pieds et de me montrer son cul. Il paraît que comme ça, les frottements ...