Les Parques 7 & 8 /8
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
uniforme,
noculotte,
Masturbation
Oral
policier,
vengeance,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... les tendre à son supérieur. Les deux mastards qui maintiennent le ripou lui font effectuer un demi-tour et le Divisionnaire, tout sourire, lui serre, fort, très fort, les bracelets aux poignets.
— Aïe, pleurniche Sidah, c’est trop serré !
Le Divisionnaire fait pivoter le bonhomme face à lui :
— Oh, je suis désolé, c’est bête, mais je n’ai plus l’habitude… Et je manque d’expérience, c’est la première fois que je menotte un serpent !
— Monsieur le Divisionnaire, vous vous trompez ! Je ne sais pas ce qu’elle a bien pu vous raconter, mais c’est faux, totalement faux ! C’est elle qui a essayé de…
— Te fatigue pas, connard, on a les images ET le son !
Sidération et hilarité des témoins qui n’auraient jamais imaginé entendre un jour Monsieur le Procureur de la République employer un langage aussi… trivial et direct ! Sidah, lui, comprend que la partie est finie !
Le Divisionnaire Bertignoux se tourne vers Amélie :
— Désolé Capitaine, ça aurait été à vous de lui passer les bracelets, mais je n’ai pas pu résister. Mais il vous revient d’aller conduire cette… raclure en cellule de détention !
— Merci bien, Monsieur le Divisionnaire, ce serait avec grand plaisir, mais j’ai du travail qui m’attend…
Béatrice Libers, la coéquipière de Sidah, se manifeste :
— Je me ferai une joie de m’en charger si vous le permettez ?
Léger flottement dans l’assistance…
— Mais juste avant…
La jeune femme se plante face au prisonnier, lui offre son plus beau sourire avant ...
... de lui expédier un formidable coup de genou dans les parties.
— Désolée, explique-t-elle à l’assistance, mais ça faisait trop longtemps que j’en rêvais !
Alors que le bonhomme se recroqueville et suffoque, l’ensemble des personnes présentes dans l’espace de travail se met à rire et applaudir. Béatrice Lipers attrape le bras d’Amélie et le lui lève bien haut, en signe de victoire !
Les applaudissements redoublent, accompagnés de vivats pour Amélie, vivats qui se transforment en huées alors que l’ex « bœuf-carotte » retraverse la salle vers les ascenseurs. Amélie n’assiste pas à la déchéance du bonhomme, elle est déjà retournée devant l’écran de l’ordinateur. Son visage s’éclaire, elle vérifie, consulte plusieurs pages avant de s’exclamer :
— Bingo, c’est bien elle ! Amelia Vieira Carneiro da Cunha, c’est, enfin c’était, une artiste céramiste célèbre au Brésil. Voilà son site et regardez, là, à droite sur cette photo, voilà son fils, Estéban ! Mesdames et Messieurs, je vous présente… Monsieur 47 !
Trois jours plus tard – 20 h 15
— Voilà ! Tout est en place !
Antonin Ladrime contemple, satisfait l’appartement à nouveau en bon ordre. Les tableaux ont retrouvé leurs places, ainsi que les vases, bibelots et tous les autres objets récupérés au greffe.
— Dans un sens, tu as eu de la chance !
Antonin parle fort, pour être entendu de sa compagne, encore enfermée dans la salle de bains. Justement, la porte de la salle d’eau s’entrouvre.
— Qu’est-ce que tu ...