1. LA BELLE SAISON 2


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... genou, mais elle la repousse. Un peu frustré, je me concentre sur ma conduite, mais les bruits de succions venant de l’arrière m’obsèdent de plus en plus. Je retente ma chance, et là, elle laisse ma main sur son genou. Pendant quelques instants, je ne fais rien, puis, je commence à masser sa cuisse en partant du genou. Elle n’a pas bougé, mais sa respiration s’accélère.. Je passe ma main sous le tissu pour atteindre la peau nue, au niveau du genou. Prudemment, je recommence mon massage, remontant la robe sur sa cuisse, sans qu’elle tente de me freiner. Je pousse mon avantage et glisse mes doigts vers l’intérieur de la cuisse, en remontant vers sa fourche. Mon travail de fourmi semble payer, et je la sens se détendre. Petit à petit ses cuisses s’écartent pour laisser passer mes doigts, qui viennent bientôt buter sur le tissu de sa culotte en dentelle. J’entreprends un long massage de son mont de vénus jusqu’à son sexe, et je sens le tissu s’humidifier. Sans rompre le charme, je remonte pour passer sous l’elastique du slip. Elle s’écarte largement, et mes doigts viennetnbientôt patauger dans sa vulve noyée de ...
    ... désir. J’introduis un doigt en elle, et viens l’investir le plus profondément possible. La place est chaude et largement ouverte, aussi j’ajoute un second doigt. Je commence à la branler, d’abord doucement, puis de plus en plus vite. Son bassin se soulève pour venir au devant de mes doigts. Sa respiration s’accélère, et d’un coup sa main vient se crisper sur la mienne, la plaquant sur son sexe, tendue à l’extème.
    
    Elle se détend d’un coup avec un soupir et sort ma main de sa culotte avant de rajuster sa jupe. A aucun moment elle n’a tourné la tête vers moi.
    
    Quand nous arrivons à la station, une fois le véhicule stationné, Christophe et Joelle nous saluent avant de s’éloigner. La robe de Joelle ne tient plus que par deux boutons et dévoile largement ses appas sous le réverbére. Une fois qu’ils se sont éloignés, je propose à Marie-Pierre de venir prendre un dernier verre chez moi. Elle me rétorque qu’elle a passé une soirée agréable avec nous, mais qu’il ne faut pas croire qu’elle va se transformer en pute pour autant. Après une chaste bise, elle s’éloigne et me plante là.
    
    J’ai connu des jours meilleurs. 
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