Le Resort (2)
Datte: 24/09/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: simson3, Source: Xstory
... par la minceur du tissu qui composait le sous-vêtement. Un doux parfum de fleurs sauvages se dégageait de cette beauté.
Mon membre viril n’eut pas le temps de reprendre sa position zizi débandé.
Mon attention fut attirée par une inscription imprimée sur les fesses. Sur le tissu blanc de la culotte, on pouvait y lire, en grosses lettres noires :
« NE SIGNEZ RIEN. C’EST UN PIÈGE ! »
« Tu ne devais pas porter de culotte, Catherine, réprimanda la nurse. Tu ne suis pas la procédure. Je vais devoir le mentionner à Dre LeBel.
- Je sais, répondit l’autre, mais on sait que c’est plus excitant quand le client déculotte lui-même la fille! »
En tournant la tête vers moi, d’une voix plus basse :
« Hein, m’sieur, c’pas vrai ? Maintenant, retirez mes bobettes s’il vous plaît. »
J’hésitai, un peu mal à l’aise, pris entre l’écorce de la nurse autoritaire et l’arbre de la tentation de la jeune étudiante.
« Allez-y, m’sieur, me murmura-t-elle, c’est un spécial que je vous fais. »
Je ne me fis pas prier davantage et tirai sa petite culotte vers le bas, qui tomba à ses pieds. Me tournant toujours le dos, elle se pencha ensuite en avant, écartant grand ses fesses devant moi et :
« Retirez-moi ça doucement, s’il vous plaît. »
Elle me désigna le plug planté dans son anus. Un disque métallique de 3 cm sur lequel un petit DEL vert clignotait. Tirant doucement, le rosebud fut complètement retiré de l’anus de la jeune fille qui émit un léger grognement de ...
... douleur.
Fasciné par l’objet dont le DEL clignotait maintenant en jaune, j’eus à peine le temps d’y lire une inscription : ‘1-537 ‘. La vue de l’objet me rappela la pièce exposée dans la salle d’attente, posée sur la table de verre.
La fille reprit l’objet toujours clignotant jaune et le déposa sur sa culotte, sur une petite table à côté. Elle fit demi-tour devant moi, toujours souriante, me laissant voir des seins encore juvéniles culminés par des aréoles très roses et des mamelons pointant vers moi, de même qu’une chatte blonde, frisée et humide, et demanda à sa supérieure :
« Cynthia, peux-tu compter les coups de pompe pour moi ? J’ai peur de jouir et de perdre le contrôle.
- Ok, ça va, soupira l’autre. Même pas capable de compter, se dit-elle comme pour elle-même. »
À ma surprise, et, je dois l’avouer, à mon plus grand plaisir, Catherine se lubrifia le trou de cul et, s’installant face à moi sur le tabouret, colla ses seins sur ma poitrine, m’enlaça de ses bras de velours et s’empala doucement sur mon pénis fortement bandé qui sentit alors l’agréable chaleur du fion de cet enfant. À son invitation, je la tins sur moi par les fesses dont la peau me semblait aussi douce que la soie.
« Le serrement par l’anus autour du pénis est plus standardisé que celui du vagin, me chuchota-t-elle. C’est pour ça qu’on procède par sodomie. Puis, s’adressant à Cynthia :
- Ok, Cynthia, je vais commencer à sauter ! »
Catherine amorça ses mouvements pendant que l’autre comptait à ...