Une épouse (presque) fidèle...
Datte: 24/09/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
hépilé,
fépilée,
amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
sm,
attache,
yeuxbandés,
amourcach,
Auteur: Jakin, Source: Revebebe
... couler un filet de bave dans son urètre et réinsère doucement mon doigt après l’avoir lubrifié. La première phalange y pénètre facilement, sans rencontrer de résistance.
— Vas-y, n’aie pas peur : je n’ai pas mal.
Je serre encore plus fort sa verge dans ma main afin que son gland ne glisse pas entre mes doigts. Le pauvre devient rouge foncé. Mon auriculaire est comprimé dans son urètre où je sens de petites aspérités, comme le point G d’une femme.
— Oh, oui, c’est bon… Ah, oui !
Je réussis à enfoncer deux phalanges, mais ne force pas plus, de peur de me casser le doigt. Je décide de le caresser de l’intérieur pour détendre sa chair. La douceur est vraiment très agréable, bien que mon doigt commence à s’engourdir. Je titille les petites aspérités. Je m’aperçois que mon auriculaire déforme sa verge, faisant apparaître une bosse qui en définit les contours. Je branle sa queue de l’extérieur. C’est une bien étrange sensation que je découvre : celle de pouvoir le caresser de l’intérieur et de l’extérieur simultanément. Je sens mon autre main sur mon auriculaire ; je comprends que la paroi est tendre, et pas aussi épaisse qu’elle ne paraît.
J’ai envie d’enfoncer encore plus loin mon doigt pour continuer l’exploration de son urètre. Je serre de nouveau sa verge dans ma main gauche et décris un mouvement de rotation avec mon auriculaire dans le but de l’enfoncer plus profondément. Serge gémit plus fort encore. Je souris en découvrant que je lui donne ...
... involontairement encore plus de plaisir. Je sens bien les aspérités sous mon doigt ; j’avais bien deviné qu’il s’agissait d’une sorte de point G.
Toutefois, il m’avait dit auparavant éprouver du plaisir à un niveau encore plus profond. L’idée de sortir les instruments que j’ai apportés pour expérimenter cette exploration perverse s’impose à moi : il s’agit d’une aiguille à tricoter et d’un crochet. J’avais pensé insérer d’abord ce dernier en le faisant lentement coulisser dans son urètre, dans un mouvement de va-et-vient. J’aurais ainsi eu le plaisir de pénétrer un homme sans avoir à toucher son petit trou. Je souhaitais faire la même chose avec l’aiguille, mais plus profondément encore, afin d’atteindre un endroit qui procure un intense plaisir, que Serge m’avait dit avoir à une quinzaine de centimètres de profondeur, soit à la base même de sa verge.
Je retire lentement de son sexe mon doigt engourdi pour le lui proposer, mais il m’interrompt avant même que j’aie pu prononcer la moindre parole.
— Ta bouche, maintenant ! réclame-t-il.
Sans hésitation, mes lèvres fondent sur son gland que j’aspire très fort tout en le branlant. Puis j’alterne en absorbant vivement sa verge toute entière au plus profond de ma bouche. Ce faisant, ma langue compresse son frein à chaque passage. Ses gémissements, de plus en plus audibles, témoignent de son plaisir. J’adore cela : on ne me résiste pas !
— Aspire-moi le gland…
Je le prends entre mes lèvres. Je le tète, le suce et le mordille ...