1. Triste fin


    Datte: 24/09/2018, Catégories: Première fois BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... fait. Et en colère aussi. C’est pour ça que ça m’émeut, ma femme qui fait bander les hommes. Et toi, mon Boris, ça te fait bander ?
    
    — Je ne devrais pas te le dire.
    
    — Je ne vais pas non plus te demander de me montrer. Mais c’est bien pour quand tu vas rentrer, ça te fera des images si tu n’as personne ce soir… Et ça me concerne aussi, d’ailleurs. Je sens que la mer monte.
    
    — Tu crois qu’Élise prend son pied ?
    
    — Souvent oui. Et toujours avec les vieux amis. J’adore l’entendre. Mais tu sais quel est mon vrai plaisir ? Vrai de vrai ? C’est de préparer le repas pendant qu’ils baisent. J’adore ça. Je prends mon temps, je fignole.
    
    — Pendant qu’elle passe à la casserole…
    
    — Je n’y avais jamais pensé, mais merci. Il y a de ça. Je n’assiste pas en permanence, tu vois. Surtout quand c’est quelqu’un de connu. Parfois, je ne suis pas là du tout. Je vais faire un tour. Je prends la bagnole, je roule. Je reviens, la fête est finie ou pas.
    
    — Quand tu parles de ça, on dirait que c’est un truc complètement naturel, un truc que tout le monde fait…
    
    — C’est bien le problème, le renouvellement devient difficile. Une grande partie des gars ont quitté les sites. Ceux qui arrivent ne comprennent pas que tu ne les choisisses pas puisque tu cherches un mec. C’est un peu l’endroit où tu crois que tu peux baiser sans effort, tu vois… C’est lassant. Faut chaque fois réexpliquer. Mais si tu veux mon avis, oui, tout le monde devrait le faire.
    
    — Ce n’est pas une addiction, à force ...
    ... ?
    
    — Tu veux que je te dise ? On a des rituels. Le premier jour de vacances, sur la route. On s’arrête chez un gars ou à l’hôtel. Et l’avant-dernier jour dans la location. On attend ça comme le sapin à Noël. Entre, c’est pour faire patienter. Mais c’est sûr que c’est compliqué de s’en passer. Et, ne va pas croire, c’est plus difficile pour moi que pour elle. Mais au total, il n’y a pas une once de gêne ou de jalousie entre nous. On s’aime comme jamais. Et c’est pas du toc.
    
    — Et elle n’est jamais tombée amoureuse ?
    
    — D’une queue, oui bien sûr. De l’homme, jamais. Même si elle a une sorte de tendresse pour certains.
    
    — Mais ça ne te trouble pas si le gars est mieux monté que toi ?
    
    — C’est le contraire, mon Boris. C’est s’il l’est moins. Mais Élise s’en arrange toujours. Je l’ai vue prendre un pied magistral avec une toute petite queue, la plus petite de notre troupe. Mais j’avoue que pour l’œil, la taille maousse, ça en jette. Mais la première fois que nous avons eu affaire à un gars monté comme un Boeing, j’ai balisé tout de même. J’avais jamais vu ça. Elle non plus. Au final, c’est devenu un ami.
    
    — Pourquoi tu m’as dit que tu avais découvert un nouveau mot ?
    
    — C’était pour voir si tu le connaissais.
    
    — Et alors ?
    
    — Tu le connaissais. Je t’invite à la maison ? Je préviens Élise que tu m’accompagnes ?
    
    — Tu ne me proposes tout de même pas de faire ce dont on vient de parler ?
    
    — Pourquoi je t’en aurais parlé alors ?
    
    — Mais tu m’as dit, jamais d’amis ...