Oncle Robert (2)
Datte: 23/09/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: Axe1169, Source: Xstory
... Viens, installe-toi.
Je me mets dans le lit, sous la couverture, bien au chaud. Je me colle à lui pour avoir un peu de sa chaleur et je remarque une chose.
-Mais tu es nu !
-Bah oui, je dors toujours comme ça.
-J’avais complètement oublié...
-Ça te dérange ? Tu veux que je me rhabille ?
-Non non, tu es chez toi, tu fais ce que tu veux après tout. J’étais juste un peu surpris...
Je me remets confortablement contre lui, un peu excité par la situation, je l’avoue. Ma tête se soulève et redescend au rythme de sa respiration. Sans m’en rendre compte, je m’endors dans le creux de son épaule.
Je me réveille et ouvre un œil, attentif à ce qu’il se passe. Cela doit faire une petite heure que je me suis endormi et je vois que Popi a déposé son livre sur le côté. À la place, je le sens glisser ses doigts le long de mon dos et je dois admettre que ce n’est pas désagréable. Je me laisse faire, toujours bercé par le soulèvement de sa poitrine, jusqu’à ce que je sente sa main descendre plus bas que prévu. Il a maintenant sa main sur ma fesse et continue de me caresser gentiment. Il m’attrape un lobe et l’écarte de l’autre. Un premier doigt se pose sur ma rosette et je commence à légèrement m’inquiéter de ce qu’il va se passer. Mais je suis d’abord surpris lorsque je l’entends parler.
-Je sais que tu ne dors pas.
Il enlève sa main et je me redresse pour lui faire face. Il a un petit sourire au coin des lèvres qui est plutôt rassurant.
-Comment savais-tu que ...
... j’étais réveillé ?
-Depuis que je te caresse, je fais attention à ta respiration. Quand tu dors, tu respires plus lentement et là...
-Je respirais plus vite ?
-Exact.
-Mais pourquoi tu n’as pas parlé directement ?
-Pour voir si tu allais te laisser faire... Et c’est le cas, non ?
-J’étais juste encore un peu endormi, c’est tout...
-Tu en sûr ? Ta queue me dit tout le contraire pourtant.
Et il disait vrai, j’étais toujours collé à lui et mon sexe bandait et mouillait un petit peu sur sa cuisse. Je ne pouvais pas le nier, j’étais excité par ce qu’il me procurait.
-Tu n’en as pas assez de ce petit jeu ?
-Comment ça ?
-Tu sais bien, les petites caresses sur tes fesses, les allusions... Tu fais comme si de rien n’était mais je te touche intentionnellement tes magnifiques lobes, tu as forcément du le remarquer. Et puis, par ailleurs, j’ai vu que tu avais trouvé mes magazines cochons. Ne nie pas, je les ai vu cachés sous ton lit.
Il les avaient donc bien trouvés...
-D’accord, c’est vrai.
-Bien, on en parlera plus tard. Parlons maintenant de ce qu’il s’est passé cette nuit.
-Oh non c’est pas possible... Tu étais réveillé ?
-Évidemment, dès que tu es entré dans la chambre, je me suis réveillé. J’ai le sommeil léger, tu le sais...
-Mais pourquoi n’as-tu rien dit ?
-Je ne voulais pas gâcher ce moment ! Tu aurais pu prendre peur et tout arrêter. Et regarde jusqu’où tu as été, tu m’as fait jouir ! Et tu vas recommencer...
-Et si j’en ...