Liaisons Interdites (4)
Datte: 23/09/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Mynameis, Source: Xstory
... j’avais failli craquer sur le canapé, j’avais envie de la sentir dans mes mains, de la prendre en bouche, de lui faire plaisir, de sentir en même temps ses mains sur moi... Quand j’y repense petit journal, à l’heure actuelle ça me provoque des choses, je sens que je suis toute humide... Je le revois, je revois ce moment où j’ai perdu pied et que je me suis laissé monter au septième ciel.
Mais en même temps, ça me tourmente. Qu’est-ce qu’il se serait passé s’il m’avait vue ? Voilà la question que je me pose... plusieurs scénarios me viennent à l’idée. Je me dis qu’il m’a peut-être vue, mais qu’il ne veut pas me le dire... En même temps, c’est compliqué à dire... J’ai aussi tendance à penser qu’il aurait appelé l’hôpital psychiatrique s’il m’avait vue... mon bas de pyjama était quand même à mi-cuisse, j’étais adossée contre le mur et une de mes mains s’occupait de mes seins pendant que l’autre s’occupait de mon minou... Qu’est-ce que j’étais mouillée quand j’y repense... s’il avait ouvert le rideau, je n’aurais pas pu nier... j’ai peur... peut-être qu’un jour je perdrai le contrôle ? Tu crois qu’un jour je craquerais pour de bon ? »
Tristan en reste bouche bée. Cela confirme tout ce qu’il pensait depuis le début, mais une phrase l’interpelle « cela me rappelle la fois où j’ai failli craquer sur le canapé ». De quoi veut-elle parler ? Quand était-ce ? A-t-elle écrit d’autres choses à ce sujet ? Tristan se pose dix mille questions. Il comprend que ce qu’il tient entre ...
... ses mains est son journal intime. Il meurt d’envie de l’ouvrir pour en savoir plus, mais où est cette clef ?
Ni une ni deux il commence à chercher. Sous le lit, sous son oreiller, dans les tiroirs de sa table de chevet, dans son bureau, il va même jusqu’à regarder dans la pile de vêtements, dans ses chaussures, dans son sac de cours en vain. Il s’assoit pour réfléchir. Il pense alors à un endroit où personne n’irait fouiller : son tiroir à sous-vêtements. Esclave de sa curiosité, Tristan ouvre son placard mural. Il ouvre un premier tiroir, pas le bon. Le deuxième, rempli de petites culottes, de string, de chaussettes, de soutiens-gorge de toutes les couleurs et au style varié. Soucieux de ne laisser aucune trace, il y plonge les mains sans y mettre le bazar.
Cette exploration l’amène à faire quelques découvertes alléchantes. Pour commencer, il tombe sur une panoplie de nuisettes : une noir à dentelle, une autre rouge et noir, une blanche aux bordures du décolleté en dentelle noir, une noir à poids blancs puis un ensemble de lingerie noir avec des nœuds rose pâle. Quelques endroits sont transparents, un mélange de dentelle et de satin. Cela ressemble à du haut de gamme. Tristan prend le soutien-gorge, regarde l’étiquette au dos : Aubade 90 D. Lire la taille de son bonnet lui est excitant, mais il ne s’attarde pas, range le tout méticuleusement et reprend ses recherches. Il ne fallut pas attendre longtemps pour tomber sur autre chose. Tristan tâte. Cela ressemble à une ...