Catherine et les sortilèges - 5
Datte: 23/09/2018,
Catégories:
Humour
Auteur: Axelya, Source: xHamster
... cuisses écartées, ses reins creusés, mettaient en évidence sa croupe charnue. Grégoire pouvait voir sa chatte en détail, les lèvres fines, fermes et roses, l’ouverture perlée de mouille, la fronce de l’anus, au-dessus. Catherine le regardait, la tête penchée sur le côté. Elle avait gardé ses lunettes, sachant que cela l’excitait. « J’ai été une très vilaine fille ce soir, punis-moi » dit-elle d’une voix rauque tout en avançant une main entre ses cuisses. Grégoire, très excité avait baissé son pantalon. Il se branlait doucement tout en s’approchant du lit. Il tendit l’autre main et la rabattit doucement sur une des fesses de Catherine. « Plus fort ! » dit-elle. Cette fois, un claquement retentit et elle poussa un petit cri de plaisir. « Encore ! » Il s’exécuta. Sur la fesse de Catherine, il voyait la trace rouge de ses doigts et ce spectacle le rendait fou de désir. Impossible de poursuivre ce petit jeu plus longtemps. Grégoire saisit un préservatif dans le tiroir de la table de nuit, en déchira l’emballage avec les dents et enfila l'étui en latex sur son sexe rigide qu’il plongea aussitôt dans la chatte trempée de Catherine. Il la saisit par les hanches pour la ramener vers lui. Il voulait la saillir sauvagement, s’enfoncer en elle à grands coups de reins, la faire hurler. Elle jouit très vite, en criant et se tordant. Ses jambes tremblantes ne pouvaient plus la soutenir et elle se laissa tomber sur le lit. Grégoire se coucha sur elle et la pilonna avec vigueur, jusqu’à ce ...
... qu’il jouisse à son tour. Ils se laissèrent quelques minutes pour souffler, dans la position de la cuillère. Catherine cependant, insatiable faut-il croire, s’empara de nouveau de la queue de son partenaire, bien vite érigée, la guidant vers son sexe. Ils baisèrent pendant pratiquement toute la nuit.
Les autres jours ne furent pas plus calmes : Catherine passait ses soirées à se masturber en imaginant sa vie au bordel, multipliant, dans ses rêveries, les ébats et les orgies furieuses. Aussi se présenta-t-elle à l’église ce jeudi-là dans un état de fatigue déplorable. Elle avait prétexté d’une migraine pour quitter le travail plus tôt et sa chef, voyant sa mine, lui avait conseillé de se reposer. Dans la rue, elle portait des lunettes noires pour masquer les larges cernes sous ses yeux. Elle les retira quand le Père Anselme l’accueillit. C’était un homme grand et sec, d’une soixantaine d’année, d’une attitude humble et bienveillante. Il se présenta et, après lui avoir proposé de s’asseoir, lui dit d’un air inquiet :
- Vous avez parlé d’un besoin d’assistance spirituelle à notre secrétaire. Vous savez j’ai perdu l’habitude de prodiguer des conseils, dit-il en souriant. On ne fait plus appel à nous que pour les trois grands événements de la vie.
A la suite à cette phrase, devant le peu de réaction de Catherine, il crut bon de préciser :
- Les baptêmes, les mariages et les enterrements. Mais je vous en prie, dites-moi ce qui vous amène.
- Par où commencer… Il faut ...