Trésors et secrets de famille
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
Hardcore,
Lesbienne
Inceste / Tabou
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... m’enfoncer dans son fourreau détrempé, ce havre tiède, vivant et vibrant de désir… Ses seins empaumés par mes mains, elle se donna sans relâche, beuglant mes coups de reins puissants mais tendres, ondulant pour mieux la posséder, entendant les râles de ma Sophie, entreprise par la langue de Jean dans un 69 très chaud…
La soirée finira au matin, champagne et complicité jusqu’au bout de la nuit, le lendemain grasse matinée, puis inauguration de notre nouveau SPA tous les quatre…
Je n’avais jamais vu Sophie jouir autant, surtout quand on l’a prise à deux, le visage dans la chatte d’Annie, écartelée au-dessus d’elle.
C’est Jean qui a initié ce tableau, prenant ma femme sur lui, jouissant de la chose qui s’insinuait en elle… Et quand elle fut calmée, et qu’elle s’est allongée contre lui, les fesses offertes, je n’ai eu qu’à planter mon dard surexcité dans son petit trou, largement préparé par sa copine de jeu…
Ce fut ensuite Annie qui y passa, dans le SPA, rivée sur nos 2 queues dont elle se pénétrait en cadence, et en musique…
Elle aime la bite, je comprends qu’elle soit venue me chercher sans vergogne dans mon pantalon…
Elle était à bout…
Elle était trempée quand j’ai retiré son string poisseux de mouille, relevant sa jupe en lamé et qu’elle s’est assise sur moi dans le canapé en se pourfendant de mon attribut dressé vers le ciel, à côté de son mari qui lutinait déjà Sophie avec sa jupe soulevée aux hanches et sa guêpière déboutonnée…
Dans la foulée, nous ...
... avons fait le tour de la villa avec Annie, au garage à l’arrière de ma voiture, comme quand on flirtait en sortie de boîte, l’établi avec quelques outils et des liens aux poignets et aux chevilles, puis le congélateur froid qui lui gelait les miches… Ensuite, pour me remercier, elle a commencé une pipe dans la salle de bains, agenouillée, nue, qu’elle a poursuivi dans notre chambre où nous nous sommes croisés au sein de notre grand lit de 220. Là elle s’est empalée sur moi, sans attendre, et m’a chevauché avec frénésie, jusqu’à ce que jouisse en elle, un plaisir divin de se prendre par cette furie divine…
J’ai pu voir Sophie, les traits tirés, le cheveu en bataille, venir lui faire l’amour avec passion, Jean et moi en spectateurs, assis sur les fauteuils, sirotant nos cognacs…
Quelle journée ! A midi on a fini les restes, et on a recommencé tous les 4 dans notre chambre et dans le SPA, la sieste initiée n’a pas duré, chacun avec la femme de l’autre, écartelées, leurs foufounes ouvertes à nos délires…
Elles terminèrent seules, penchées sur nos queues fatiguées, mais encore ardentes, empalées sur un double gode, plaisir saphique et très intime, en s’amusant comme des folles avec le sex-toy malmené…
Sophie était aux anges, le soir après leur départ, lorsqu’on a remis un peu d’ordre dans notre villa où pas un coin n’avait échappé à la tourmente…
Ils nous ont téléphoné le lendemain soir, ils n’étaient pas sortis, ravis, enchantés, mais épuisés par nos ébats…
Ils ...