1. Pulsion scopique (2)


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Isadora, Source: Xstory

    ... ressortit son membre turgescent. Il se branlait en la regardant avec avidité, se demandant comment à son âge, cette petite traînée pouvait être aussi dévergondée.
    
    La scène dura ainsi pendant quelques minutes qui parurent durer une éternité. Le souffle court, il se rapprocha d’elle. Elle était tétanisée à l’idée qu’il la touche entre ses cuisses. Tétanisée à l’idée qu’il s’y prenne mal. Elle rêvait de doigts experts. Heureusement pour elle, ce petit jeu était son préféré. Il commença à branler doucement son clitoris en prenant bien garde à le laisser sous son capuchon, et il observait avec attention le visage de sa victime. Elle léchait et mordait ses lèvres pulpeuses en fermant les yeux. Son regard à lui l’intimidait bien trop pour qu’elle se permette de s’y perdre. Elle commença à se caresser les seins, à les palper et les presser dans la paume de ses mains. Elle voulait jouir de chaque zone érogène de son propre corps. Lui, de son côté, faisait aller et venir ses doigts le long de sa petite chatte immergée. Il voulait qu’elle baigne dans son jus, que ses fesses en soient recouvertes.
    
    Puis, il se mit à genoux, approchant son visage vers l’objet de ses caresses.
    
    — Maintenant, tu ouvres les yeux. Je ne veux pas que ton regard quitte le mien. Tu vas me regarder te bouffer la chatte. Et tu vas me regarder du début à la fin. Je te jure que si ton regard quitte le mien, je te mords jusqu’à ce que tu saignes et je te déchire ton con. C’est compris ?
    
    Elle ouvrit alors ...
    ... les yeux et plongea en lui. Elle ne le quittait plus. Elle s’était ancrée profondément pour ne pas perdre pied. Il avait d’ores et déjà commencé le travail. Sa langue fouillait les moindres recoins de son anatomie. Tantôt sur sa fente et tantôt glissant le bout à l’intérieur, il faisait en sorte qu’elle hurle de plaisir, il voulait la voir s’abandonner, il voulait qu’elle s’offre entièrement à lui. Sans barrière, sans pudeur. Mais la salope résistait. Elle savait ce qu’il voulait, elle ne connaissait que trop bien ces manigances typiques des dominants invétérés. Mais elle se refusait à lui donner. Elle voulait le pousser à bout pour que sa soumission n’en devienne que plus grande. Elle le voulait extrême, fou, et ravagé. Alors, elle ne gémissait que par à-coups, feignant un certain désintérêt pour la chose alors qu’au fond d’elle, elle savait pertinemment qu’en s’obstinant, il parviendrait à ses fins.
    
    Il se redressa alors tout en continuant de la fixer, et plongea ses doigts dans son trou déjà élargi par l’excitation. Et il la branla comme elle ne l’avait jamais était. Ses va-et-vient ne cessaient pas, il la baisait littéralement avec ses doigts tout en l’insultant copieusement.
    
    — Je sais que tu aimes ça chienne, qu’on t’insulte comme la petite pute que tu es. Espèce de sale traînée, t’aimes ça hein ? Attends d’avoir ma queue au fond de ta p’tite chatte de nympho et là, tu vas hurler, là, tu vas me supplier d’arrêter. Hé ! Hé ! Qu’est-ce que tu fous ?! Je te parle bordel, ...