L’Amant imposé 04 LA MÉTAMORPHOSE
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: VIEULOU, Source: Hds
... ce temps, Katte caresse les cuisses découvertes de son amie, frôlant son entrecuisse et glissant sa main vers le pubis qu'elle agace délicatement. Angel comprend très vite que c'est son amie qui la masturbe ainsi ; elle proteste sans trop de conviction.
• Oh ! Katte que me fais-tu ? Non ! Je ne veux pas. Arrête je t'en supplie. Pas devant mon mari. J'ai honte ! - Franck dis lui d'arrêter. Oh ! Non ! Pas comme ça. Ooooh ! Oh ! Oui ! Continue. Non ! Arrête. Non ! Oui. Aaaaahh !.... Tu es folle arrête. Oh ! Non continue. Ah ! Vous êtes des monstres tous les deux. Oh ! Ouiiiii ! C'est bon - encore - encore. Ooooh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........
J'en ai profité pour sortir de sa nuisette les deux gros globes de ses seins et pour gober ses mamelons tour à tour dans ma bouche, accentuant la volupté qu'elle ressent au gamahuchage de son amie. Angel est emportée par plusieurs spasmes avant qu'un orgasme fulgurant déferle en elle.
C'est à ce moment que la sonnette d'entrée retentit. Aussitôt Katte l'abandonne pour aller ouvrir à l'homme qui vient spécialement baiser mon épouse.
Angel reprend très vite ses esprits, comprenant que cette fois, elle ne va plus échapper à la pénétration qu'elle souhaite ardemment, mais qu'elle récuse aussi sous le prétexte de la bienséance et de sa honte à faire l'amour devant moi et sa meilleure amie. Car elle a bien compris que Katte allait assister au coït qu'elle va devoir subir, aveuglée et attachée sans défense devant le semblant de ...
... viol qui se prépare.
À cette pensée d'ailleurs, elle me le dira plus tard dans notre lit, elle n’a pu s'empêcher d’être excitée de cette situation qu'elle ne pouvait contrôler, sentant son vagin se détremper par le jus qui coulait entre ses cuisses.
C'est alors que dans son affolement contradictoire à ce qu'elle espère et à ce qu'elle rejette en même temps, elle vient de sentir un organe mâle se glisser entre ses cuisses, puis brusquement une verge imposante s'enfoncer d'un seul jet dans sa gaine vaginale. Elle pousse un cri bref à cette intromission soudaine, mais enflammée par les tripotages de son mari et de son amie, elle ne peut s'empêcher de soulever son bassin et de coller son ventre à celui de l'homme qui la pourfend sauvagement, l'agrippant même de ses jambes entremêlées pour qu'il aille le plus loin en elle.
Son mari mêle sa langue à la sienne, l'embrassant profondément alors que son amie, dont elle reconnaît le parfum, lui suce et lui mordille les tétons. Elle a perdu toute décence, criant sa joie à se mélanger avec ces corps, ces bouches et ces doigts qui la font jouir autant. Bientôt le mandrin qui lui pilonne sans arrêt la matrice inondée l'emporte dans une fabuleuse volupté. Son corps tressaute sous les coups de boutoirs.
Elle n'en peut plus de jouir, elle halète à petits coups, gémissant de bonheur alors que son corps se couvre de sueur. Elle sent les odeurs enivrantes des deux hommes et de la femme qui lui font l'amour, mélangés à sa propre odeur. Ce ...