Mamie Louise 02
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
Mature,
Auteur: Fulvia41, Source: xHamster
... dilatation des mamelons Louise devait être particulièrement sensible aux attouchements mammaires.
Cependant, il n’était pas le seul spectateur à s’émouvoir devant les gros nichons dodus. Jérémy, depuis son poste d’observation n’avait rien perdu de la scène. La découverte de la poitrine de sa grand-mère du fait de sa position élevée lui apparut encore plus volumineuse qu’elle n’était en réalité. Ses fantasmes d’adolescent le reprirent. S’il avait été à la place du fromager, il savait bien ce qu’il aurait fait. Son désir ? Nicher son visage entre les deux mamelles à l’apparence si douce, percevoir leurs tiédeurs contre ses joues, sentir leurs effluves. Et surtout, aspirer les tétons entre ses lèvres pour les sucer ; ce qui d’après ses lectures érotiques, procurait un indéniable plaisir aux femmes.
Se plaçant sur le côté, Jérémy dégrafa entièrement son short afin de libérer sa verge gonflée. D’une main résolue, il entreprit de se masturber, sans toutefois cesser d’observer les agissements du couple formé par sa grand-mère et le fromager.
A la fixité du regard de son jeune amant en direction de son opulente poitrine, Louise se sentit rassurée sur le jugement que ce dernier pouvait porter sur son corps que l’âge avait quelque peu enveloppé. Comme fasciné par le spectacle de ses lourdes mamelles, Julien semblait statufié sur place, ce qui ne faisait pas les affaires de Louise, impatiente de passer à des activités plus sexuelles. Aussi elle décida de tirer le jeune homme ...
... de sa contemplation ; elle ne l’avait pas entrainé jusqu’ici pour qu’il joue les contemplatifs : elle avait d’autres projets. Saisissant ses seins dans ses mains, elle les pressa l’un contre l’autre, leur donnant encore plus de volume :
— Ils te plaisent mes doudounes ?... Tu aimes les gros nichons ?...
Mais comme Julien ne semblait pas émerger de son exaltation, elle continua :
— Tu peux les embrasser si tu les trouves à ton goût !...
Alors, comme sortant de sa léthargie, Julien relâcha subitement son étreinte. Heureuse, Louise gonfla sa poitrine, dans le désir d’offrir ses mamelons gercés aux lèvres de son amant. Mais à l’inverse de ce qu’elle espérait, ce n’est pas ses seins qui attirèrent la concupiscence de Julien.
Abandonnant la contemplation de l’opulente poitrine, partie de l’anatomie de Louise qui l’avait pourtant alléchée dès sa première rencontre, Julien laissa descendre son regard jusqu’au pubis recouvert d’une abondante toison noire. Cette exubérance de poils formait un épais triangle dont la pointe allait se perdre entre les deux cuisses grasses et pourtant étrangement fermes de son amante. Jamais Julien n’avait connu de femmes aussi poilues. N’y tenant plus, l’excitation devenant par trop intense, il se laissa tomber à genoux aux pieds de sa sensuelle maîtresse qu’il saisit de nouveau aux fesses, avant d’enfouir son visage dans la luxuriante fourrure crépue.
Comprenant les desseins de Julien, Louise, dont le corps sembla s’enflammer soudain, ...