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La bourgeoise et le puceau. (5)
Datte: 22/09/2018, Catégories: Erotique, Auteur: hélène75, Source: Xstory
... queue durcit rapidement sous mes caresses et il esquisse quelques mouvements du bassin comme pour se masturber dans ma main. Je continue mon cinéma d’épouse endormie ravie du retour de son époux — On dirait que je t’ai manqué. Attends, je vais m’occuper un peu de toi. Je me glisse sous la couette et pose ma tête sur son ventre. Je lui caresse les bourses tout en excitant son gland de la pointe de ma langue. Le coquin se laisse aller et en profite pour me caresser les fesses d’une main et les seins de l’autre. Je continue mon petit jeu pendant de longues minutes puis, le sentant à point, j’embouche ce gland juvénile qui découvre peut-être là les premières joies de la fellation. Après avoir bien aspiré entre mes lèvres son joli champignon, je décide de l’emboucher entièrement. Il a vraiment une superbe queue, bien plus intéressante que celle de François. Elle n’est pas très épaisse mais elle est bien longue et j’en ai plein la bouche. Mes lèvres coulissent entièrement le long de sa tige, je marque un petit temps d’arrêt lorsque son gland est au fond de ma gorge puis je reprends le mouvement. Il se laisse aller car il ne bouge plus, sans doute pour mieux apprécier cette merveilleuse fellation que je m’applique à lui faire. J’ai envie de caresser mon bourgeon tout en le suçant mais cela ferait trop. Pour faire durer un peu le plaisir, je ressors la tête de dessous la couette et reviens l’embrasser à pleine bouche tout en gardant une main sur son sexe. D’une voix ...
... toujours endormie, je lui susurre — On dirait que tu aimes chéri. Je continue encore un peu ? Pour ne pas se trahir et me laisser croire que je suis bien avec François mon mari comme je fais semblant de le penser, Florian se contente de me répondre d’un — Hum. Je replonge sous la couette et reprends en bouche cette queue à laquelle je sais que je vais être accro. Lentement au début puis de plus en plus vite, je poursuis mon travail de pompage et d’aspiration. Sa main se pose soudain sur ma tête et m’oblige à garder son gland au fond de ma gorge. Son ventre se tend puis s’agite et il décharge de longs jets de foutre dans ma bouche. Je ne sais pas s’il s’est masturbé hier soir après m’avoir épiée mais il en a encore plein les bourses. J’imagine qu’à vingt ans, les batteries doivent vite se recharger ! J’avale cette semence bien chaude et lui nettoie bien la queue de quelques coups de langue appuyés, il ne faudrait pas perdre de cet excellent nectar. Je ressors la tête de sous la couette, l’embrasse de nouveau sur la bouche pour qu’il apprécie lui aussi le goût de son foutre puis je lui dis — Maintenant laisse-moi dormir, je travaille demain. Je lui tourne aussitôt le dos, fais comme si j’avais déjà replongé dans un profond sommeil et ne bouge plus. Il me caresse encore un peu la croupe et le dos puis sort doucement du lit. J’entends ses pas légers qui s’éloignent et la porte qui se referme doucement. François est rentré comme convenu dans la nuit et au ...