Communion
Datte: 05/02/2018,
Catégories:
fff,
hh,
grp,
fbi,
hbi,
jeunes,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
69,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Kitty Lévine, Source: Revebebe
... ses seins que j’estimais bien plus jolis que les miens : plus lourds, mieux tenus. Moi, je pouvais me passer de soutien-gorge, il n’y avait rien à soutenir ! Mais bon, en fait je ne connaissais pas une copine contente de sa poitrine. Celle des autres est toujours mieux. Alors, je me dis que…
Bon, ce n’est pas tout, les enfants nous attendaient pour la baignade. Héloïse passa devant moi dans un maillot noir une-pièce, fort joli. Moi, j’avais un bikini classique vert, et je mettais le haut parce que j’étais animatrice, sinon je n’aurais mis que le bas comme l’an passé sur la côte. Que c’est agréable de ne pas avoir ces ficelles…
En descendant vers la plage, je me dis que maintenant j’étais mûre pour le nudisme. Il faudrait que j’en parle à Coco : on a deux semaines de vacances en septembre…
Héloïse marchait devant en discutant avec deux filles de 11-12 ans. Je fermais la marche avec les deux garçons qui ne les quittaient pas des yeux depuis le début du séjour. Je suivis ses cheveux bruns jusqu’à ses reins et je regardai son petit cul se balancer devant mon nez. Oserais-je un jour faire ce que Corinne m’a fait découvrir ?
La baignade fut un régal. L’ambiance était bonne et les jeunes pas compliqués.
La soirée se passa autour du feu avec les classiques : pommes de terre à la cendre, saucisses et bananes au chocolat. Nora jouait de la guitare et nous chantionsGraeme Allwright, Hugues Auffray etMaxime Le forestier. Les filles pleurèrent aprèsStewball et la soirée ...
... s’acheva surImagine, chanté par une jeune d’origine Américaine. Une voix et une sensibilité impressionnante. Puis ce fut le coucher, les petits rires du soir, et nous nous retrouvâmes près du feu, heureusement un peu à l’écart des tentes.
Nora avait sorti sa fameuse bouteille de Génépi. Je m’assis à côté de Corinne. Héloïse, toujours attentive au groupe amena des couvertures. En posant une sur les épaules de Nora, veillant à ne pas gêner la guitare, une sur celles de Coco, puis elle en mit une sur le dos des deux garçons, une sur leurs jambes, et fit de même avec elle et moi. J’étais tétanisée. Ce n’était pas ce qu’elle aurait dû faire ! Je ne dis rien et elle s’assit à côté de moi, sa hanche collée à la mienne. Je me sentais liquéfiée par ce contact. Corinne me passa la bouteille de Génépi. C’était bon et j’en avais besoin. Nora avait changé de registre.Cat Stevens nous envoûtait par sa voix rauque.
Soudain, l’improbable se produit : Héloïse posa sa tête sur mon épaule.
Je penchai légèrement la mienne et nos deux crânes furent collés. Je cherchais à établir le contact corporel le plus intense. J’avais l’impression de connaître chaque racine de chacun de ses cheveux. Ses hanches brûlaient les miennes. Le Génépi repassait dans l’autre sens et après en avoir bu une lampée sans se détacher de moi, elle me passa la bouteille et je posai mes lèvres là où elle avait posé les siennes. À ce moment, elle reposa sa main, à l’intérieur de la couverture, mais négligemment sur ma ...