1. Avec Abdoul


    Datte: 21/09/2018, Catégories: Sexe Interracial Mature, Inceste / Tabou Auteur: anicooby71, Source: xHamster

    Anne-Marie m’avait prévenue, m’adjurant de rester calme, de ne pas m’indigner chez ce monsieur. Nous avons eu peur, ce n’est pas peu dire. Je tremble encore ! La réalité est au-delà de toute imagination ! L’enfer existe sur terre ! J’ai besoin de raconter de me confier.
    
    Abdoul vit dans un appartement « haussmannien » dans le Nord de Paris. Nous montons au deuxième étage, dans l’ascenseur une odeur bizarre de bonbon, mais assez forte.
    
    L’individu nous attend sur l’entrée de l’appartement. La modestie ne l’étouffe pas.
    
    Dès qu’Anne-Marie approche, il lui plaque un baiser sur la bouche, la main sur les fesses et des coups de reins, simulacre de pénétration. Il est bien habillé : pantalon noir, chemise bariolée, genre jamaïcain et tennis blanches. Il ne lâche mon amie que pour m’entourer les épaules et m’attirer pour prendre mes lèvres. Je tourne la tête, effarée. Il semble étonné de ma résistance, il soulève ma robe, sa main va directement à mon pubis. Je le repousse, il apostrophe Anne-Marie, lui reproche d’amener une bourge, avec des modulations de sa voix qui feignent la colère. Il est bel homme, autour de 1,80 mètre, svelte, élégant. Des yeux noirs, bouche lippue mais sans excès… On comprend qu’il n’ait aucun complexe pour séduire les femmes qui passent à sa portée. Il nous fait un peu de cinéma. Pour créer à sa façon une ambiance frivole ?
    
    Il nous invite à rentrer, j’ai un peu peur mais mon amie me prend la main. L’odeur bizarre règne dans son couloir. Le séjour ...
    ... est très chaud, presque dans l’obscurité et une musique, du blues, joue en sourdine. Une jeune femme est assise dans un fauteuil. Sur la table basse, des verres à moitié vides, et sur une plaque en verre, deux lignes de cocaïne blanche, çà pue c’est dégoutant, je veux repartir, Anne-Marie me retient. Quelle horreur ! Dans mon affolement, je lui glisse à l’oreille : Ne fait pas de bêtise, toi Nous sommes au bord du précipice, dans la gueule du loup qui joue le maitre de maison, nous invite à nous assoir, propose des boissons : whisky, vodka, jus de fruit, mixtures africaines bizarres, certainement alcoolisées. J’ai peur, je ne toucherai pas à mon verre.
    
    Abdoul s’installe, il ôte sa chemisette et son pantalon. Corps jeune et bien découplé. Il porte un boxer fin tout blanc qui laisse voir son service trois pièces à travers la transparence. Décidément il ne doute de rien !
    
    Je suis cependant fascinée par sa peau très noire, brillante même, il n’est pas grand et puissant comme Moussa, mais bien proportionné, ventre plat, torse épilé, sportif. Au-dessus de la moyenne. Il a remisé ses gestes déplacés de l’accueil, sa voix est agréable, surement celle d’un bon chanteur s’il voulait faire carrière, c’est un séducteur !
    
    Il traite Anne-Marie comme une copine. Aucune amertume dans leurs propos, il est manifestement habitué aux ruptures sans sentiment.
    
    Il est fier de nous présenter la jeune femme qui n’a pas bougé. Il soulève sa robe et exhibe les dessins sur le jeune corps. Il ...
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