L'Exhibitionniste
Datte: 21/09/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byPhilippe C de Harles, Source: Literotica
... des implants.
De passer de 36A à 36C, ça fait toute une différence.
Puis, maintenant, les mâles se tordent le cou quand je passe près d’eux.
Puis, ils en sifflent aussi pour mon petit cul, car, je sais comment m’en servir pour les aguicher et les faire bander, les pauvres chéris.
Je lui mets un doigt sur les lèvres pour la faire taire cette belle garce.
As-tu oublié les préservatifs que je lui dis?
Ma belle, il serait plus que temps, si tu veux prévenir les dégâts, car, moi à ce rythme-là, je suis à la veille d’éjaculer.
Aimes-tu mieux que je me retire?
Assumes bonhomme qu’elle me dit.
Puis, si je n’aurais pas voulu te recevoir, ça ferait déjà un bout que je t’aurais masturbé.
J’ai passé l’âge d’être juste une agace.
Et, je suis entraîné à un rythme d’enfer par la garce qui se fait aller la croupe dans tous les sens pour que je la pénètre encore plus profondément. Une dizaine de secondes plus tard, je viens en elle.
C’est si bon qu’elle me dit.
Vides-toi, tout en moi.
Et, la tigresse m’agrippe et me pince les fesses et de son autre main, elle me graffigne le dos. Et, sans avertissement, la garce m’enfonce un doigt dans l’anus et ce doigt me brusque sans ménagement. Je n’ai jamais été si excité et je décharge en elle tout le temps qu’elle me fouille l’anus de son doigt si dérangeant.
Je me repose quelques secondes pendant que la jeune femme encore toute haletante me repousse un peu et elle me mordille les mamelons avant de les ...
... lécher à grand mouvement de la langue.
Elle me repousse en bas de la table et me dit d’aller continuer mes travaux. Lorsque je viens pour partir, la garce me retient par les cheveux et elle me dit :
Pendant que tu vas travailler, je vais nous préparer un repas parce que tu vas avoir besoin encore de ton énergie.
Bonhomme, si tu penses que j’en ai fini avec toi, tu te trompes, car, la journée ne fait que commencer.
En agissant toujours brusquement, la garce me tire vers elle et elle m’enfouie la tête entre ses cuisses. Je replonge ma langue dans sa chatte et la lèche à grand coups de langue pendant qu’elle en miaule tout un coup.
En as-tu des tonnes de femme qui se donne à toi, comme moi, ce matin qu’elle me dit.
Tu es pas mal indiscrète, mais comme c’est ton métier de connaître tout sur les gens, je vais te dire qu’en plus de vingt de métier, ça m’est déjà arrivé plus d’une fois.
Toi, ma belle, aussitôt que j’ai vu ton regard enflammé ce matin, une intuition me disait qu’il était pour se passer de l’action entre nous deux.
Je m’en doutais, bonhomme.
Et, c’est pourquoi, tu sifflais tout le temps.
Tu es bien comme tous les mâles qui savent qu’ils vont avoir leur nénanne.
Les hommes, quand il y a du sexe en vue, ils sont tous joyeux.
Vous êtes tous, une maudite gang de macho?
Toi, ma belle, je ne pensais qu’à te sauter depuis le premier moment que je t’ai vu à la salle de danse dans cette petite robe sexée dans laquelle tu faisais exprès pour ...