La jouissance au travail
Datte: 21/09/2018,
Catégories:
Hardcore,
Lesbienne
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
Comme toute administration, celle-ci possède ses archives aménagées au sous-sol. C’est ici que je travaille depuis deux ans. Je m’appelle Déborah. J’ai 31 ans. Je suis seule dans ce service et je suis loin d’être débordée de boulot. Alors je m’occupe. Je vais sur Internet, je bouquine, j’échange des SMS avec des amies… Il est aussi fréquent que je me masturbe.
Le risque est faible qu’on me surprenne, car très peu d’employés se rendent au sous-sol. Quand c’est le cas, le bruit de l’ascenseur me donne l’alerte et je dispose d’une petite minute pour remettre mes vêtements, quand j’en enlève. Cela arrive assez souvent, car j’ai toujours trouvé très excitant de me dévêtir, même en partie, sur mon lieu de travail. Il n’est pas rare par exemple que j’enlève ma jupe et ma culotte pour me branler devant mon écran d’ordinateur. Il est aussi fréquent que je ne mette rien sous une robe qui se défait et se remet rapidement.
J’apprécie de mater des vidéos pornos ou de m’exhiber en webcam, mais j’aime aussi me mettre à poil dans les longs rayonnages d’archives sous la lumière des néons. Je m’imagine des scènes et je me déshabille.
J’ai néanmoins de la visite de temps en temps.
Paul travaille au deuxième étage. Il a une cinquantaine d’années. C’est la seule personne à m’avoir surprise dans une situation embarrassante. C’était il y a un an et demi, dans l’hiver. Je n’avais gardé que mon soutien-gorge et mes bas. J’étais dans mon fauteuil, la chatte et le cul à l’air, les cuisses ...
... écartées devant une vidéo qui montrait un couple qui baisait dans un jardin public. Je n’ai pas entendu le bruit de l’ascenseur, pour la simple raison que Paul a choisi d’emprunter l’escalier ce jour-là. A l’approche de ses pas, j’ai seulement eu le temps de couper la vidéo. Il m’a trouvée à moitié à poil dans mon bureau, paniquée et rouge de honte. Je me suis excusée et j’ai dû me pencher en avant pour ramasser ma robe et la plaquer sur mon corps.
Paul m’a alors dit :
« Tu es toute excusée. Ce serait plutôt à moi de m’en vouloir de t’avoir dérangée dans un tel moment. »
Son regard arpentait mes cuisses et ce qui était visible de mes hanches et de mes épaules. Il souriait.
Je lui ai répondu :
« Si tu peux éviter de raconter ça à quelqu’un… »
« Ne t’inquiète pas, ça restera entre nous. Tu fais ça souvent ? »
J’ai haussé une épaule et dit :
« De temps en temps. Tu veux bien me tourner le dos, s’il te plait ? Je voudrais remettre ma robe. »
Il n’a pas bougé. Il a dit :
« De temps en temps, c’est-à-dire ? Une fois par mois ? Une fois par semaine ? »
« Tourne-toi, Paul. »
« Une fois par jour ? Je n’ai pas envie que tu remettes ta robe. »
Je n’ai rien répondu. Je savais ce qui allait se passer dans les minutes qui venaient, tout simplement parce que j’avais imaginé maintes fois ce genre de scène en me masturbant. J’étais cependant toujours sous le choc d’avoir été surprise, alors j’ai attendu que Paul dise autre chose.
Il souriait toujours. ...