Elodie, ma sœur. (3) - Histoires de Sexe

Elodie, ma sœur. (3)

Chapitre 3 : Élodie ou... maman

Dimanche matin, je me réveille avec Élodie dans mes bras, sa tête posée sur mon épaule. Je regarde la pendulette et il est déjà presque midi. L’alcool et surtout le sexe de cette nuit nous ont vraiment anéantis.

Je vais soulager ma vessie et à mon retour, j’admire le corps de ma sœur Élodie dans mon lit. Elle est superbe. Par leur poids, ses seins sont légèrement affaissés dans sa position couchée un peu de côté et ses tétons, un peu raides, frôlent ses lèvres. Son ventre n’est pas seulement plat, mais il est aussi musclé, tout comme ses jambes longues et féminines. Elle bouge dans son sommeil et j’ai maintenant son cul sous les yeux. Rond et ferme, une courbe parfaite.

Dans ma tête un flashback. Ma bite pénètre complètement dans le cul magnifique d’Élodie. Ma petite sœur, incroyablement excitée, est chaude comme la braise. Elle suce mes doigts qui sortent de sa chatte trempée et me supplie de la baiser plus fort, de lui baiser le cul. Ses yeux s’écarquillent et elle pousse un cri d’extase sous un orgasme explosif.

En la regardant blottie dans mon lit comme une petite fille, j’ai de nouveau un sentiment de culpabilité. Peu importe qu’elle m’ait supplié, elle est toujours ma petite sœur et je ne devrais pas profiter d’elle et de son incroyable envie de sexe.

Mais quand elle se retourne, toutes ces horribles pensées disparaissent. Maintenant, face à moi, les yeux fermés, sa grosse poitrine m’éblouit avant de voir qu’elle a ...

... inconsciemment un doigt dans la bouche et qu’elle le suce légèrement. Alors que je m’approche du lit, ses yeux verts s’ouvrent paresseusement et un sourire se dessine sur sa bouche lorsqu’elle réalise où elle se trouve et avec qui.

— Dany, mon amour, vient t’asseoir à côté de moi.

Je me déplace latéralement vers le lit, gêné par mon sexe en érection, faisant de mon mieux pour le cacher. Je m’assieds le dos contre ses jambes, mes mains sur mes genoux pour me couvrir et je tourne ma tête pour lui parler.

— Bonjour bébé... bien dormi ?

— Humm, oui, dit-elle, s’étirant comme une chatte

En se redressant, ses seins volumineux sont plus glorieux et ma bite plus douloureuse. Elle ajoute ;

— C’était une nuit fantastique, n’est-ce pas ?

— On peut dire ça... oui, fantastique.

Elle tend sa main et me caresse le dos, puis elle se relève un peu plus pour encercler ma taille et me caresser le ventre. Excité, je retire mes bras de mes genoux et je me penche en arrière en fermant mes yeux. Élodie a dû voir mon pénis en érection, car je l’entends ronronner.

— Mon ami est de retour.

Une de ses mains saisit ma bite et ses doigts frottent mon gland avant de descendre le long de ma queue. Arrivée à mes couilles, elle les caresse doucement. J’entends à sa respiration que ma petite sœur commence à avoir de nouveau ses chaleurs.

— Élodie, protestai-je doucement, il est midi et nous ne savons pas quand les parents vont rentrer à la maison.

— C’est vrai... ils peuvent ...