Professeur particulier (3)
Datte: 05/02/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Anonyme, Source: Xstory
COURS N°7
Toute la semaine, j’avais fait monter un peu plus la pression. La journée, j’envoyais des textos à Anna, des textos pour le moins équivoques, dans lesquels je lui disais ce que je voulais lui faire, dans quelle position, à quel endroit. Ni elle ni moi n’y croyions, mais j’écrivais ces messages en anglais et faisais passer ça pour des devoirs. Dans le même temps, je lui disais d’y répondre, toujours en anglais, en me racontant ce qui la faisait mouiller.
Puis, le soir, je la chauffais un peu plus encore. Là, je l’appelais. Je lui parlais en anglais et lui disais de se masturber au son de ma voix. C’était tellement excitant de l’entendre gémir, d’entendre les sons humides de ses doigts sur son sexe, que je finissais par me masturber aussi. Mais je ne la laissais pas jouir. Elle grognait, mais je ne cédais pas. Je lui demandais seulement d’aller dormir après m’avoir envoyé une photo suggestive d’elle.
Et ainsi tous les jours de la semaine.
Autant dire que lorsque je suis arrivé chez Anna le samedi matin, elle ne tenait plus. Elle a attendu que sa mère soit partie de la chambre pour se jeter contre moi, frottant son corps contre le mien, me suppliant de la prendre et de la faire jouir. C’était tentant ! Surtout qu’elle avait fait attention à remettre sa tenue d’étudiante modèle, jupette et chemisier. Mais je me suis retenu. Ça l’a rendue folle, mais je lui ai simplement dit d’aller s’asseoir à son bureau.
Puis nous avons commencé à travailler, comme si ...
... de rien n’était. Bien sûr, je prenais bien soin d’entretenir cette tension qu’il y avait en elle. Je la frôlais tandis qu’elle travaillait sur des exercices de grammaire que je lui avais donnés. Je posais mes mains sur ses épaules, sur son cou. Je m’approchais d’elle pour vérifier son travail, chuchotais les réponses à son oreille, mon souffle sur sa nuque la faisant frissonner.
— Monsieur, m’a-t-elle dit d’une voix tremblante, s’il vous plaît... J’ai envie que vous me preniez... Je n’en peux plus...
— Continue ton exercice, Anna.
Elle s’est résignée à continuer, tandis que, toujours derrière elle, je glissais mes mains le long de son corps, jusqu’à ses cuisses, que j’ai écartées en grand. Comme elle s’arrêtait d’écrire, j’ai dû lui rappeler qu’elle devait continuer à travailler. Ma main avait déjà glissé sous sa jupe, et mes doigts s’activaient contre le tissu trempé de sa culotte. Penché au-dessus de son épaule, je voyais bien qu’elle avait de plus en plus de mal à écrire. Elle a cependant lâché son stylo quand j’ai glissé mes doigts sous le coton de son sous-vêtement.
— Continue, Anna.
— Mais Monsieur, c’est trop dur.
— Continue...
Anna a repris le stylo. Je commençais à bien connaître la sensibilité de son corps. Aussi, j’évitais soigneusement son clitoris, qui ne demandait qu’à être titillé, et je concentrais mes caresses autour de son sexe, puis à l’entrée de celui-ci. A peine avais-je glissé deux doigts entre ses lèvres que ma jeune élève lâchait à ...