Clarisse mère au foyer
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: charime, Source: xHamster
... incapable de me dire d’où lui venait ce profond désir soumission. J’ai la ferme intention de lui donner satisfaction et pas plus tard que dans la cabane de chasse.
Devant la cabane, son fils montre des signes évidents de fatigues. J’ouvre la cabane, installe ce petit gars dans un lit, sa sœur juste à côté. Je fais du café. Pour elle, je lui réserve un tabouret, la positionnant à genou dessus et nue, les mains sur sa tête. Elle se plie à toutes mes demandes sans aucune objection, un délice.
« Tu aimes ? »
« Beaucoup Monsieur ! »
« Tu en veux plus ? »
« Tout ce que Monsieur voudra m’imposer, j’aimerais, Monsieur peut en être certain ! »
« Je crois que je suis amoureux de la femme la plus extraordinaire et excitante qui soi. »
« Alors, sachez que mes sentiments m’unissent à vous, comme les vôtres à moi, Monsieur Alain. »
Je lui donne à boire son café en massant son corps merveilleux. Parfois, je fesse tendrement son corps à l’endroit qu’il me plait de fustiger, même ses joues. Elle ne déteste pas, loin sans faut. Je la prends sans autre, son sexe est ouvert et ...
... largement humide. Femme dévouée dont son mari n’avait pas su découvrir les avantages de ce corps. Je la fais jouir en lui disant que ce ne sera pas toujours le cas. Sa tête sur la table, elle pousse un long soupir en se mordant sa main au moment suprême.
On ne va pas plus loin, les enfants commencent déjà à se réveiller de leur sieste. Après un rapide nettoyage, on boucle la cabane et rentrons par un autre chemin. Dans le quartier, me voyant en compagnie de cette femme, on comprend vite que je suis accro. Sur une terrasse d’un bistrot, le bonhomme se prend une petite glace, ma docile, un soda. La petite ne pouvant encore commander sa boisson, elle contente de son biberon. Le soir, chez ma disciplinée voisine, je la sodomise longuement tout en fessant amoureusement sa croupe merveilleusement dodue.
Une journée de travail, ça passe vite quand on sait qu’une femme s’impatiente de ne pouvoir vous servir. Elle passait ses journées entre son appartement et le mien. Elle me faisait mon ménage, ma lessive et bien plus encore. Jamais mon appartement ne fut si propre qu’avec Clarisse.