1. Femmes enceintes...


    Datte: 20/09/2018, Catégories: ff, fagée, enceinte, poilu(e)s, essayage, volupté, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme fdanus, Auteur: Jeff, Source: Revebebe

    Vous l’avez certainement remarqué comme moi, le printemps est la période propice pour que soudain, la rue n’appartienne plus qu’à elles.
    
    Elles ? Je veux parler des femmes enceintes, les futures mères de famille. Elles trimballent leur ventre rebondi et mettent en avant leurs seins qui ont doublé de volume. Elles avancent à petits pas lents, une main plaquée sur le côté du ventre ou dessous pour en soulager le poids. Elles traversent la foule avec fierté et détermination, tout en prenant garde de ne pas heurter leur précieux fardeau contre les passants pressés, souvent indifférents, évitant aussi de se faire bousculer.
    
    Aux heures de pointe, à l’heure de la sortie des bureaux, lors de grandes soldes, elles avancent leur embonpoint, réussissant la magie d’intercaler leurs ventres ronds entre deux espaces vides qu’elles repèrent toujours de loin. Les vieux messieurs leur jettent un œil méchant, car elles sont destinées à prendre leurs places réservées, les femmes un œil envieux, les hommes les enrobent d’un regard énamouré et souvent attendri. Quelques-uns s’en fichent et passent leur chemin comme si de rien n’était. Mais ils sont rares, ces butors.
    
    Généralement, la vue d’une femme enceinte déclenche dans l’esprit des hommes, toujours frustrés par ces moments-là, flashes et souvenirs. Ils se remémorent l’époque où leurs épouses attendaient aussi un bébé… et dans la tête de bon nombre d’hommes, quelques fantasmes tapis depuis toujours reprennent forme.
    
    Et pas ...
    ... seulement dans la tête des hommes lubriques et frustrés…
    
    La silhouette élancée, les cheveux blonds flottant au gré de sa marche, le regard rivé à quelques pas d’elle, ce qui en intensifie la couleur violette, le visage tavelé de toutes nouvelles taches de rousseur, Sabine, jeune femme de vingt-cinq ans, fend la foule. Soudain, elle stoppe net et, avec difficultés, elle s’immisce au milieu d’un attroupement qui se presse à l’étal d’une échoppe où les soldes « avant fermeture définitive » viennent de démarrer. Mains en avant, elle fouille allègrement dans un des bacs pour tenter de trouver au milieu des rossignols et des vieux modèles, quelque chose qui puisse lui convenir. C’est que depuis qu’elle est enceinte, plus grand-chose ne correspond à sa taille qui s’arrondit de jour en jour. Et Matthias, qui est parti en mission pour un an, n’est plus là pour l’aider ou la protéger. Quand elle se penche en avant, elle a toujours la désagréable impression que le poids de son ventre et de ses seins va l’entraîner et qu’elle va chuter. Mais ce n’est qu’une impression. Pourtant, elle fait toujours attention. Comme, en ce moment.
    
    Avec précaution, elle réussit à extraire une série de blouses. Jusqu’alors, elles n’auraient même pas attiré son attention, tant elles sont amples, alors que son habituelle garde-robe a plutôt tendance à être ajustée, près du corps. Un corps qui, il y a peu de temps encore, faisait se retourner les hommes dans la rue. Sans précipitation, elle entre dans la boutique ...
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