1. Début de soirée


    Datte: 19/09/2018, Catégories: ff, couleurs, prost, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral fgode, fist, Auteur: Sofie, Source: Revebebe

    ... ces fesses bien dodues.
    
    Christina tourne la tête et je vois une lueur d’étonnement dans ses yeux voire de légère appréhension vu la taille de mon sexe artificiel.
    
    Quant à moi, le sentiment de frustration ronge mon ventre et la forte dose d’alcool qui circule dans mes veines et loin de m’avoir apaisée. Au contraire, après le choc du concert, il me manque à présent quelque chose. J’ai l’impression que l’on a coupé mon bien-être comme on arrête un robinet. D’un coup sec, sans la moindre douceur ni prudence et me voilà à sec. Il est temps que je soulage ce sentiment de manque, de rage qui gravit en moi. Je retire mon t-shirt et le jette. C’est d’abord une sensation glacée qui frappe ma poitrine nue, en raison de ma menue poitrine je n’ai nul besoin de soutif’, puis c’est un début d’excitation qui apparaît à l’approche de la saillie de cette jeune soumise. Je baisse mon jean et ma culotte et j’attache le gode ceinture à ma taille. Le gland en plastique pointe comme un dard menaçant. Je suis à quelques centimètres de son minou broussailleux. Mes mains serrent ses épaules, j’enfonce un peu mes ongles et elle serre les dents de douleur, ça y est je suis en elle…
    
    Christina pousse un cri, car mon rut est direct. Je claque mon membre factice contre sa peau. Son sexe reçoit des assauts répétitifs sans répits. L’onde de choc de ma frustration ainsi traduite fait balancer ses seins lourds dans leur piège de dentelle blanche. Cela m’excite de la prendre ainsi avec son ...
    ... soutien-gorge. Je la prends sans la dévêtir complètement, allant de suite à l’essentiel, le soulagement. Je serre ses fesses dans mes mains pour rétrécir la paroi de son con. La prendre en levrette me soulage, le bourdonnement quasi incessant dans ma tête disparaît pour être remplacé par la douce mélodie de nos respirations fortes et tendues par l’effort. Je la pénètre sans ménagement, parfois je m’amuse à ressortir mon engin afin de constater l’épaisseur de l’objet que je lui enfonce aussitôt après, ma perversion rassasiée. Mes jambes prennent un rythme cadencé allant de plus en plus loin en elle. Mon propre sexe commence à s’humidifier, j’éprouve un certain plaisir à soulager mes pulsions de cette manière. Je la baise sans la moindre pudeur ni gêne. Une dernière salve puissante et je recule d’un pas. Mon gode ressortant luisant de sa mouille décidément abondante je me mets à genoux et goutte sa chair. Ma bouche se perd dans cet amas de poils, j’arrive tout de même à lécher son clitoris. Son goût hante ma bouche. Un bout de chair si fragile et surtout si petit comparé à l’accessoire en plastique précédemment utilisé.
    
    — Allonge-toi sur le lit, sur le dos et après ne bouge pas.
    
    Depuis le début, Christina ou quelque soit son vrai prénom a toujours exécuté mes ordres. Certes non sans méfiance, mais avec également une certaine résignation voire un désintérêt total de la situation eut sans doute égard à sa profession.
    
    Elle répond donc à mon ordre en s’allongeant, moi, je dégrafe ma ...
«12...456...»