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La jeune agricultrice « Label Rouge »
Datte: 19/09/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, campagne, hotel, fête, voyage, douche, intermast, Oral pénétratio, champagne, Humour Auteur: Pierre Pesgraud, dit P2, Source: Revebebe
... ambiance ! Tu sais, c’est la première fois que je fais l’amour avec un garçon aussi vieux que toi. — Eh bien moi je peux te dire que c’est la première fois que le vieux fait l’amour avec une « gaminette » comme toi ! — Tu n’es pas gentil de me traiter de « gaminette ». — Alors arrête de me traiter de vieux, je n’ai même pas trente ans… et tu peux le voir, j’ai encore toutes mes dents. Mélanie se remet en tailleur à côté de moi. J’adore sa manière de s’asseoir. C’est alors qu’en grande bavarde, elle reprend la conversation : — On ne va passer que deux nuits ensemble si tu rentres vendredi soir. — Non, ça fait trois avec cette nuit. — Et pourquoi tu rentres si tôt ? Tu ne peux pas rester quelques jours de plus ? On pourrait passer le début du week-end ensemble… et aller quelque part. — Et pourquoi le début du week-end ? — Parce que je vais passer une semaine de vacances au bord de la mer avec ma tante et mes cousins. Il faut que je sois à Dax dimanche en fin d’après-midi au plus tard. J’écoute les paroles de Mélanie d’une oreille un peu fataliste. J’aurais bien poursuivi mon aventure avec elle au-delà de trois nuits. Ne serait-ce que pour fêter ma première aventure avec une fille aussi jeune, aussi fraîche et aussi bien bâtie. Les quadras d’expérience et de pouvoir, je remettrai ça à un peu plus tard. Tout à coup me revient à l’esprit le problème de double saisie sur le logiciel de mon sous-traitant. C’est un vrai miracle : je tiens le bon bout ! Je vais ...
... téléphoner dès demain matin à mon responsable parisien pour lui dire que j’ai découvert un « manquement mineur » à nos règles de qualité, mais un « manquement » quand même. Je vais donc demander l’autorisation de rester deux jours de plus pour régler le problème moi-même. Le logiciel étant écrit sous Access, cela rentre parfaitement dans mes attributions. Compte tenu de ce long week-end du 14 juillet, cela fera six jours et six nuits en plus au total, dont deux avec Mélanie, ce qui est loin d’être négligeable. Le dimanche soir il y a l’invitation à la « soirée tapas » chez la belle-mère de Bernadette. Si je me débrouille bien, je peux y faire la connaissance d’une célibataire ou d’une divorcée pour occuper la fin de ce long week-end. Sinon, je consacrerai mes soirées au développement de mon logiciel ; je lui fais beaucoup d’infidélités depuis quelque temps. Tout est donc bien qui finit bien. Il ne me restera au final qu’à demander à mon ami Karl de déplacer d’une semaine notre rendez-vous parisien. La grande déprime de l’Allemande de Dresde qu’il doit me présenter n’en est plus à une semaine près. Je suis donc en mesure d’annoncer très fier à Mélanie : — Je pense que j’ai un moyen de reporter mon départ à jeudi soir en huit. — Philippe, c’est formidable ! Et on va où, ce début de week-end ? — Où tu veux, visiter un château… ou une abbaye… ou autre chose. — Je ne connais pas les châteaux cathares, m’affirme-t-elle avec force. — Eh bien on ira en visiter un… Le ...