Soins intensifs - Histoires de Sexe

Soins intensifs

... eu le temps de réagir et nous restions tous figés que la porte se rouvrait et que le visage et le bras de l’infirmière réapparaissait :

— Je mets le voyant rouge. On ne vous dérangera plus, j’y veillerai. La rééducation ne peut lui faire que du bien.

Un clin d’œil appuyé et un visage souriant me rassurèrent quant aux conséquences de cette intrusion inopinée et du spectacle qu’elle n’avait pu manquer d’apercevoir.

— Tu te rends compte de ce que tu as fait !
— Ben, elle n’avait pas l’air trop fâchée. Je dirais même qu’elle m’a encouragée à continuer.
— Il n’en est pas question, ça m’a coupé l’envie…
— Pas à moi !

Il faut dire qu’en se redressant brusquement, Isa s’était empalée sur mes doigts et que, si mon index et mon majeur étaient profondément enfichés dans son vagin, mon pouce avait pénétré brutalement son petit trou et était au trois-quarts enfoncé. Son gémissement au moment de l’intrusion de l’infirmière était plus lié à la surprise de cette double pénétration qu’à la confusion d’être découverte.

— D’autant plus que l’autre petit salaud m’encule et me baise avec ses doigts.
— C’est pas vrai, vous ne pensez qu’à ça !
— Écoute, si l’infirmière dit qu’il faut continuer, on continue !

Sur ces paroles définitives, Isa baissa vivement le pyjama et reprit en main un engin ramolli, mais de taille respectable et l’emboucha sans autre forme de procès. La voyant aussi déterminée, je dégageai maladroitement ma bite de mon slip et ramenai sa main gauche sur ...

... mon sexe dénudé. Elle ne résista pas et l’entoura afin de le branler à l’aveugle. Son autre main caressait habilement les couilles et la base de l’énorme mandrin déjà redressé qui ne tenait pas intégralement dans sa bouche. Les mains de Jean-Pierre qui, dans un premier temps, avaient tenté d’écarter son visage, caressaient délicatement son cou et s’insinuaient sous son abondante chevelure. De mon côté, j’avais repris mes mouvements de main et mon pouce allait et venait profondément dans sa rosette tandis que mes deux autres doigts furetaient à l’orée de sa chatte.

— Oh, que c’est bon ! je voudrais être baisée par vous deux en même temps…

Isa avait murmuré ces paroles entre deux gobages profonds de la queue de notre ami, tout en masturbant la base dont ses doigts ne faisaient pas intégralement le tour.

— Pas aujourd’hui, mais dès que je sors de là, je te prends la chatte et le cul…
— Et quand il te baisera, je mettrai ma queue dans ta bouche pour que tu me pompes jusqu’à la moelle, et puis on te baisera tous deux ensemble, tu vas jouir comme jamais…
— Ma queue va défoncer ton petit trou, tu vas la sentir passer…
— Ça sera autre chose que mon doigt qui t’encule…

À tour de rôle, Jean-Pierre et moi commentions nos projets en des termes de plus en plus crus pendant que la bouche et les mains d’Isa s’activaient. Elle prenait l’engin énorme et luisant de sa salive pour se caresser le visage, puis le réenfournait goulûment après avoir gobé ses couilles et léché tout son ...