Sylvie et co. (3)
Datte: 18/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
Une vie de coq en pâte.
Après la dernière aventure où les deux filles avaient joué les prostituées, la vie a repris son cours mais Armelle nous rejoignait de plus en plus souvent le samedi soir.
Elle avait banni de sa vie les mecs de rencontre qui la sautaient le samedi soir dans son appartement et avouait que lorsqu’elle avait envie d’un autre mec que moi, elle connaissait une bonne adresse !
Vous avez deviné laquelle !
Généralement, Armelle arrivait vers 22 heures et repartait le dimanche en milieu d’après-midi.
Après quelques bavardages avec Sylvie et moi, les choses sérieuses commençaient... souvent de la même manière...
Les deux filles se mettaient en 69 sur le tapis de la salle de séjour et se mangeaient la chatte pour bien se chauffer... Ou alors, cela se passait sur mon lit...
Je jouais le spectateur d’un show érotique comme on en voit dans les salons spécialisés qui fleurissent une fois l’an dans les grandes villes. Les filles commençaient en se déshabillant mutuellement tout en s’embrassant et en se caressant...
Je me rinçais l’œil en masturbant mon sexe qui se dressait sur mon pubis...
Quand les deux filles avaient pris leur pied, je savais que le moment était venu pour moi de satisfaire celle qui était au-dessus et offrait son fessier à ma pénétration.
Tantôt, c’était le fessier quelque peu plantureux d’Armelle, tantôt, c’était le petit cul de Sylvie...
Avec elle, chaque fois, j’avais l’impression d’avoir une très jeune fille dans ...
... les bras... C’était vraiment un petit gabarit et je ne compte plus les fantaisies que nous avons pratiquées.
Avec Armelle, c’était beaucoup plus conventionnel mais c’était une cérébrale. Quand nous baisions ensemble, je savais qu’elle se faisait tout un cinéma.
Quand il m’arrivait de gicler entre ses seins, Sylvie venait laper les traînées de sperme et s’en régalait... Inversement, quand je m’étais épanché dans la chatte de Sylvie, Armelle embouchait aussitôt ma verge dont elle tirait les dernières gouttes.
Au matin, nous nous retrouvions bras et jambes emmêlés dans mon lit... Souvent, nous nous endormions dans la position de la cuillère, l’une me tournant le dos, les fesses contre mon pubis alors que l’autre était collée à moi, ses seins pressés contre mon dos.
Comme je bandais toujours à moitié au réveil, celle qui sentait ma bite entre ses fesses s’agitait jusqu’à ce qu’elle me sente en forme pour pénétrer sa chatte par l’arrière.
L’autre se dressait sur son coude et nous regardait baiser tout en caressant son sexe !
Ces étreintes matinales étaient souvent le point de départ d’un nouveau délire...
Un matin, pendant que je câlinais Sylvie dans le lit, Armelle s’est levée pour nous préparer un petit-déjeuner copieux et revigorant.
Elle avait juste revêtu le tablier de soubrette de Sylvie et lorsqu’elle s’est approchée de nous, nous avons pu voir une belle protubérance cachée par le tissu.
Je vous le donne en 1000... elle s’était harnachée avec un ...