1. Une colocation très chaude.


    Datte: 17/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... de résistance.
    
    Je me penche en avant, approche mon visage de ce braquemard. Il a l’air de se laisser faire.
    
    Je passe plusieurs fois le gland monumental sur mes lèvres et sous mon nez. Je me régale vraiment de son odeur. Je commence à lui mordiller le gland du bout des dents et je le sens s'abandonner aux douceurs que je lui octroie. Sans crier gare, j’avale le plus de son sexe au prix d'une longue descente de mes lèvres le long de cette hampe interminable avant de libérer entièrement sa verge. Je recommence cette opération deux, trois fois, puis je ne compte plus tout en plongeant mon regard dans le sien.
    
    Comme une affamée folle furieuse, je recommence à le sucer, à enfoncer son gland dans ma bouche, essayant d’en faire entrer le plus possible comme une vraie malade ! Mais comment faire ? Il y en a trop... Je sens qu’il durcit encore, on dirait qu’il aime ça. Je l’enfonce bien dans ma gueule grande ouverte, en le branlant vigoureusement d’une main tandis que de l’autre, je palpe son lourd paquet de couilles. Quelle masse de bite et de couilles il a !
    
    Mes deux mains courent en même temps sur sa teub, animées d’un mouvement tournant contraire.
    
    Il est rare que je puisse faire ça car il faut avoir un partenaire déjà bien équipé mais là c’est un pur bonheur et en général ils ne tiennent pas deux minutes.
    
    Avec une main je change de joujou et empoigne ses testicules, l'autre tenant son sexe que je soulève pour plonger ma bouche sur ses couilles endolories. Je ...
    ... crois avoir gagné car il est près de défaillir.
    
    Ma bouche remonte lentement de la base de son sexe jusqu'au gland que j’absorbe entièrement, jouant du bout de la langue avec son méat.
    
    Je veux qu'il me supplie pour que je mette fin à ses souffrances en engloutissant son sexe rapidement. Nos regards se croisent, brûlants. Un état de transe déforme son visage, des râles sourds et profonds s’échappent de sa bouche ouverte. Sa main se fait lourde sur ma tête et je suffoque car il me bouche les bronches avec sa verge. J’agite un bras en l’air quand enfin il finit par exploser de plusieurs longs jets dans le fond de ma gorge en resserrant davantage l’étreinte de sa main sur ma tête. Je sens son sperme chaud et abondant couler abondamment directement au fond de ma gorge. J’arrive à le repousser un peu en toussant mais son magma blanc continue de sortir de la bouche éruptive de ce volcan incroyable.
    
    J’ai obtenu une récompense au-delà de mes espérances et m’en délecte, tandis que Claude me laisse enfin retirer lentement son membre de ma bouche.
    
    Je dois m’y reprendre à plusieurs fois pour avaler tout le nectar offert. Je peux enfin ouvrir à nouveau la bouche pour lui montrer comment j’ai apprécié son offrande mais il y introduit aussitôt sa verge souillée pour que je la nettoie et avale goulûment tout le sperme qui s’y trouve encore jusqu’à ce qu’il n’en reste plus aucune trace. Quelle fougue et quel mâle ! Je n’aurais pas cru qu’un tel étalon se cachait sous son air d’ado ...