1. Le temps d'une danse


    Datte: 17/09/2018, Catégories: inconnu, boitenuit, danser, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Auteur: Macapi, Source: Revebebe

    ... transe assez lente me permet de prendre mon temps et de danser plus ou moins comme je le désire. J’entre par l’arrière de la scène dans un déchaînement humain qui sature mes oreilles, douce clameur pour mon ego. Les habituées me connaissent, les nouvelles venues sont prêtes à me recevoir, le monde est à mes pieds, je suis là pour les séduire toutes. Je balaie des yeux la salle, accrochant les regards au passage, leur lançant des œillades chaudes qui les font vibrer.
    
    Je me retourne, leur présente mes fesses et donne une forte claque sur la gauche, ce qui fait redoubler le bruit ambiant. Un sourire enjôleur sur mes lèvres lorsque je me tourne vers l’avant à nouveau, je m’imagine en train de les embrasser toutes. La sensualité qui émane de moi se propage jusqu’aux tables et je les vois qui se tortillent sur leurs chaises.
    
    Je passe mes mains langoureusement sur mon tee-shirt, leur montrant quel homme je suis. Je m’approche de la première table à l’extrémité et je promène mes mains en soulevant le tissu pour leur dévoiler mon torse nu et lisse. Elles sont folles de moi. Je fais lentement un tour sur moi-même en dénudant complètement mon torse avant de jeter au loin ce bout de tissu encombrant. Elles peuvent toutes admirer mes muscles puissants, mes larges mains qui soulignent ma taille en commençant à se glisser sous la ceinture de mon jean.
    
    La musique me rend sauvage, coulant, sensuel. Je regarde Julie dans les yeux au passage, elle soutient mon regard, sérieuse tout à ...
    ... coup. Elle vient de prendre conscience de son désir. J’effectue quelques pas de danse avec un déhanchement à rendre jaloux un danseur de salsa professionnel.
    
    Je déboutonne d’un geste confiant mon jean, d’une seule main, en habitué. Je glisse ensuite ma main droite à l’intérieur, profondément. J’empaume mon membre pour me mettre en condition. J’y prends un réel plaisir et elles le sentent. Je les vois qui n’osent pas fixer leur regard trop longtemps sur mon entrejambe.
    
    Elles continuent à s’époumoner dans une extase collective, alors que je baisse enfin mon jean en leur tournant le dos. Elles ont une vision de rêve sur mes fesses rebondies que je m’empresse de faire claquer. Les plus sensuelles d’entre elles en ressentent l’effet comme si je leur avais moi-même administré une fessée, les autres crient plus fort pour évacuer leur tension sexuelle. C’est la raison principale pour laquelle il n’y a jamais de débordements. La plupart de ces femmes s’autorisent à crier à la vue d’hommes nus, comme des enfants ayant trop de plaisir. Une minorité seulement se permettent de ressentir d’abord le plaisir sexuel et se laissent prendre au jeu.
    
    La main cachant mon sexe, je fais lentement le tour de la scène. À chaque table, je m’arrête, regarde une des femmes dans les yeux et je lui demande si elle veut voir. Si elle répond oui, je lui dévoile mon sexe que j’étire avec ma main. Arrivé au centre, je regarde Nancy dans les yeux, elle semble vaguement gênée et sourit légèrement. Je lui ...
«1...345...»