1. Les vacances de Julie - 7


    Datte: 17/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Markpm, Source: Hds

    ... peux pas en être sûr car j'étais trop concentré sur le mien. J'ai joui en elle avec la même force que celle dont j'ai usé pour la baiser, recouvrant les parois de son vagin de ma semence chaude.
    
    Je me suis retiré, lentement, en prenant le temps de regarder mon sperme couler sur le visage de Julie. La chienne connaissant son rôle, elle a ouvert grand la bouche, et avalé tout ce qui lui était offert. Quand la source s'est tarie, Virginie, épuisée, s'est écroulée sur le lit.
    
    — Tu as eu ce que tu voulais ? lui ai-je demandé en jouant avec sa fente baveuse du bout du doigt.
    
    — Plus que ça. C'était délicieux, merci !
    
    Puis elle s'est levée et est allée ouvrir la fenêtre, prétextant que « ça puait le sexe dans cette piaule ». Dehors, le soleil se levait à peine. Un coup d'œil à ma montre, et je me suis rendu compte qu'il était à peine six heures et quelques. Virginie nous a proposé de passer à la douche avant de descendre prendre un petit déjeuner, ce que nous avons accepté de bon cœur, surtout Julie, dont le visage était recouvert de sécrétions diverses.
    
    La douche à trois est restée sage, si ce n'est que Virginie, en plein savonnage, s'est mise à pisser comme si de rien n'était. Elle s'est rapidement excusée, nous expliquant qu'elle faisait tout le temps ça, seule ou avec Bernard, et qu'elle n'a pas fait attention. Je lui ai dis de ne surtout pas s'en faire pour moi. Ça ne me gênait pas, bien au contraire. Julie s'est alors mise à rire et, comme sa nouvelle copine, a ...
    ... relâché sa vessie dans la douche. Je ne pouvais donc pas me défiler, et j'ai, comme tout le monde, pissé sous l'eau. Nous rigolions tous, comme des enfants bravant l'interdit, mais moi, ce manque de gêne et de tabou m'excitait au plus haut point. Et j'aurais aimé diriger mon jet doré sur ces deux femmes, mais ne sachant pas ce que Virginie pouvait en penser, je me suis retenu. Pour l'instant.
    
    Nous sommes ensuite descendus à la cuisine, entièrement nus, et c'est dans cette tenue que nous avons pris un café et quelques tartines de confiture. Bernard est rentré un peu plus tard, et a foncé sur Virginie pour l'embrasser, ses mains crasseuses sur ses petits seins propres.
    
    — Ça va mieux ? a-t-il demandé.
    
    — Beaucoup mieux, oui ! a répondu Virginie en écartant ostensiblement ses cuisses, invitant son oncle à y glisser les mains.
    
    L'oncle et la nièce ont commencé à s'emballer furieusement sur la table du petit déjeuner. J'ai dû me racler la gorge pour qu'ils ne nous oublient pas complètement.
    
    — Bernard, Virginie, ai-je commencé en me levant de table, merci pour tout mais on ne va pas vous déranger plus longtemps.
    
    — Vraiment ? s'est exclamé Bernard. Vous partez déjà ? Vous pouvez rester, vous savez, vous dérangez pas !
    
    — Au contraire, a même justifié Virginie avec un sourire.
    
    — Non, c'est gentil mais on va continuer notre périple. J'ai envie de faire visiter la région à ma belle.
    
    — C'est une excellente idée, a confirmé Bernard. La région est magnifique. Allez, ...