Ma découverte du candaulisme, Sophie et le jeune interne. 1
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
Sophie et le jeune interne.
Je m’appelle Julien et passe ma première année d’internat à l’hôpital de Bordeaux. J’ai 26 ans et ai déjà à mon actif un nombre impressionnant de conquêtes féminines de mon âge.
J’adore le sexe mais voudrais varier les plaisirs avec une femme plus âgée, plus expérimentée, dans les 35/45ans.
Dans un hôpital, le « gibier » est abondant et je devrais bien trouver chaussure à mon pied ou devrais-je dire une chatte accueillante pour ma bite.
Après avoir pris le temps de bien examiner les infirmières, j’ai jeté mon dévolu sur une belle femme d’une quarantaine d’année, elle s’appelle Sophie, blonde, cheveux coupés au carré avec des yeux noisette claire qui tire un peu sur le vert, bien foutue avec un corps encore superbe. Elle a une belle poitrine encore ferme avec les tétons qui pointent sous ses vêtements.
Comme régulièrement, le service médical des hôpitaux doit passer des examens pour voir s’ils n’ont pas attraper de cochonneries au boulot, je me suis porté volontaire en tant que médecin. Ce n’est pas bien compliqué et j’en profite pour me rincer l’œil.
Je fais ça sérieusement ne gardant comme objectif que ma future proie.
L’attente fut longue avant que son tour revienne, j’ouvre la porte de la salle d’attente et la fais entrer.
-C’est à vous, Sophie !
Quand elle entre dans la salle d’examen, je lui passe la main dans le dos et lui mets la main aux fesses pour la diriger vers la table d’examen, elle me jette un regard ...
... en coin mais ne dit rien.
Je lui dis de retirer sa blouse mais elle m’explique assez troublée qu’elle avait oublié qu’elle passait la visite médicale et avait mis un soutif assez transparent mais commence à se dévêtir se retrouvant en sous-vêtements.
Comme la plupart des infirmières, elle ne porte rien d’autre dessous. Son soutien gorge à demi bonnets laisse voir une grande partie des aréoles. Waouh! Quelle poitrine, pas très volumineuse mais d’une fermeté telle qu’on la dirait artificielle.
J’écoute les battements de son cœur puis sa respiration promenant le stéthoscope sur sa poitrine aux seins assez menus, j’insiste lourdement à écouter ses bronches laissant ma main plus que de raison au contact de sa peau douce.
Effectivement, le bout de tissu ne me cache rien de ses aréoles claires au centre desquelles 2 tétons se dressent.
Je lui palpe le bas-ventre, repoussant son minuscule slip qui me dévoile quelques poils épars, sa culotte est prise dans la fente de sa chatte. Je lui dis que je vois une rougeur suspecte au creux de l’aine et lui demande si elle m’autorise à faire un examen gynécologique superficiel. Elle est un peu étonnée mais va au devant de mes attentes en baissant sa culotte sur le haut de ses cuisses.
Je lui dis de ramener ses talons aux fesses et écarter les genoux, j’appuis ma main sur son ventre et lentement la descend pour effleurer ses lèvres intimes assez fines.
Je palpe les bords de sa vulve. Je prends un « bec de canard » et lui ...