1. Julia, la fille à "bidasse"


    Datte: 15/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Lexi Logos, Source: Hds

    Je trainais ma jeunesse dans les bars de cette ville de garnison sans trop savoir quoi faire. Quelques furtives aventures masculines n’avaient pas vraiment étanchées mon énergie.
    
    Je trainais donc dans ce bar sombre, sans gaité ni inspiration lorsque la porte d’entrée laissa le passage à une jeune femme, voir même une jeune fille. Son âge devait être comparable au mien, vingt ans environ. D’emblée, je la sentais mal assurée, pas vraiment timide mais pas franchement à l’aise non plus.
    
    Instinctivement je percevais la jeunette en mal de sexe et plus précisément en recherche de sexe d’un mal ! Après tout, un bar « à bidasses », comme cela se disait à l’époque, était fait pour cela !
    
    Je n’étais pas le seul à avoir relevé le nez de mon verre. D’emblée je décidais de ne pas laisser le champ libre à la concurrence et, sourire enjôleur au coin des lèvres, je lui souhaitais la bienvenue tout en lui proposant une boisson.
    
    Nous avons immédiatement sympathisé. Mon approche était rodée et le premier de mes objectifs était de savoir si j’allais perdre mon temps en préliminaire d’approche sans fin ou avoir la possibilité de concrétiser rapidement.
    
    De son coté, elle amenait habilement la conversation sur les risques d’une relation sexuelle mal contrôlée. Les années 70 n’étaient aps un modèle du genre en termes de prévention des risques de MST et de grosses non désirées. C’était cependant le temps heureux où le VIH ne sévissait pas encore.
    
    Finalement, nous nous sommes ...
    ... rapidement entendue pour nous faire du bien. Elle était novice dans la démarche mais avait entendu parlé du cinéma Le Rex, dont la réputation sulfureuse laissait courir le bruit que c’était le lieu de débauche par excellence pour les « entre-hommes » et « filles faciles ». Bonjour le glamour des années 70 … ce temps béni où on ne pensait qu’à « baiser » mais sans jamais l’avouer !
    
    Bref, après avoir royalement offert la place de cinéma à Julia, ma nouvelle conquête, nous nous installons dans le fond de la salle. J’avais une prédilection pour cet emplacement en raison de l’absence d’un fauteuil en fin de rangée contre le mur pour l’accès à une lance incendie et la proximité du mur du fond qui limitait le périmètre à surveiller afin d’être tranquille.
    
    Très traditionnel dans la pratique, nous avons commencé par nous manger mutuellement la bouche. Avec fougue et, pour effet, des sensations supplémentaires qui me donnaient une érection à en péter la braguette. Ce faisant, ma main glissait rapidement sous sa jupe et entrait très vite au contact de sa motte pubienne. La Julia s’était bien gardée de mettre une culotte, mes doigts s’emparèrent des lieux avec aisance. Sa mouille rendait sa chatte glissante et je ne tardais pas à lui passer vigoureusement le majeur dans la chatte. Bientôt je lui susurrais à l’oreille que ma queue ne demandait qu’a la prendre. Face à son refus déterminé, l’idée me vient de humer sa chatte. Rapidement je rapproche le nez de sa touffe. Son odeur m’excita ...
«12»