COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Début de la Saison V (37/43)
Datte: 15/09/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Après la fin de la saison IV, poupette me fait passer la suite de ses aventures.
Elles sont intenses.
Nous l’avions quitté au moment ou dans le tunnel creusé par Miguel son mari, elle venait de se faire violenter.
Voilà le début du chapitre V
Après que Tex courroucé s’apercevant que la clef USB dissimulée dans un faux lingot d’or n’était pas parmi les six autres, je me change et décide de rejoindre mon équipe par le tunnel entre ma demeure et le garage ou mes hommes doivent m’attendre.
Dans ce boyau, je suis agressé et même je peux dire violée même si je ne peux voir mon agresseur, ma lampe de portable s’étant éteinte.
Je suis plaqué contre le mur en brique quand le sexe de mon agresseur entre en moi.
Ce oh, c’est lorsque le morceau trouve son chemin en moi.
Moi qui dissertais sur bite ou pas bite, un homme, certainement l’un des miens à choisi pour moi.
Mon mari alité, l’un d’eux aurait-il des vues sur son empire et vais-je être égorgée après s'être déversée en moi !
Qui connaît le passage entre ma maison et le garage autre que mes hommes, mais avant de voir comment les choses vont tourner, la bite qui m’assaille commence à me faire de l’effet.
Quand je faisais la pute, certaines étaient bien plus grosses que celle qui vient d’entrer en moi, mais la situation insolite que je subis déclenche dans mon corps le début d’une jouissance.
Les histoires de femmes violées laissant éclater leur plaisir sous l’assaut des hommes les contraignants ...
... sont bien connues, je peux dire que la boule montant en moi en est la preuve.
Vous m’excuserez, je jouis en même temps que mon amant me violentant se déverse en moi par de longs jets de sperme.
Je hurle de plaisir dans ce trou.
Encore deux ou trois coups de queue et l’on me libère.
Un bruit de course vers la porte donnant vers le boyau conduisant vers la station du lac et j’entends la porte claquée derrière celui qui a mon corps défendant vient de me faire jouir.
Je remonte mon jean sentant au passage du sperme encore chaud couler le long de mes jambes.
Mon chemisier est à moitié défait, mes seins me faisant encore mal de les avoir frottés sur les briques du conduit.
Je cherche mon portable que j’allume.
La clarté de la lampe me rappelle que j’ai eu peur de mourir égorgée alors que par chance je suis morte de plaisir.
Moi qui rêvais de bite, celle qui vient de me prendre n’étais pas si mal.
Toutefois, je reprends mon chemin, satisfaite de voir la lumière du jour ayant franchi les deux portes.
Avant d’ouvrir celle de l’atelier, je regarde dans l’œilleton placé intelligemment qui permet de voir si la police n’est pas dans la place.
Je vois le monte-charge s’élever sans voir les pieds de mon agresseur qui aurait pu me donner une indication sur celui à qui j’ai promis de lui couper les couilles.
Je rappelle l’élévateur, je referme les portes métalliques de sécurité et j’arrive dans la salle.
Fred vient vers moi et ouvre me libérant, il a une ...