1. Londres à mi-temps


    Datte: 14/09/2018, Catégories: f, h, fh, jalousie, miroir, vidéox, ffontaine, Masturbation Oral fsodo, coprolalie, jouet, attache, confession, Auteur: Félix X elle, Source: Revebebe

    ... Tu l’as fait ? »
    
    Je me suis rassis, me suis tourné vers elle, elle a avancé la bouche et je l’ai embrassée en lui versant lentement tout le sperme que j’avais pu garder. Elle ouvrait de grands yeux étonnés en gobant ça. Je crois que je venais de l’épater. En finissant de se lécher les lèvres, elle m’a donné deux petites claques sur la joue et, l’air canaille, elle a dit :
    
    — Bueno !
    
    Sous les manteaux, elle a pris ma main gauche qu’elle s’est collée sur le sexe. Elle était déboutonnée et sa culotte était trempée. Je lui ai dit qu’elle s’était fait jouir aussi. Elle a fait oui de la tête. J’ai approché mon visage du sien pour l’embrasser à nouveau. Je lui ai dit qu’elle sentait le sperme. Elle a dit :
    
    — Toi aussi, mon chéri.
    
    Elle a sortit deux chewing-gums de son sac et m’en a tendu un.
    
    Je lui ai dit que je la trouvais de plus en plus salope, qu’elle avait même tendance à devenir une « grosse salope », mais que ça me plaisait bien. Ça l’a fait rire parce que, justement, elle se faisait à peu près la même réflexion à mon sujet. Je lui ai expliqué qu’en français le mot « salope » n’avait pas vraiment d’équivalent masculin. Elle trouvait que le français était une langue machiste, parce que des « salopes » au masculin elle savait que ça existait. J’ai demandé si elle disait ça pour moi… Elle a réfléchi un peu et a fini par dire :
    
    — Non… toi tu es un dirty pig.
    
    Loin de me calmer, cette séquence m’avait au contraire attisé davantage. Arrivés chez ses amis, dès ...
    ... que l’occasion se présentait, quand on se retrouvait seuls, j’essayais de la coincer pour lui peloter les fesses. J’avais une énorme envie de lui manger le cul et le lui avais dit. Bien consciente de l’attrait irrésistible qu’exerçait sur moi cette partie de son anatomie et pour me faire patienter, dans son français délicieux et presque menaçante, elle m’avait prévenu :
    
    — Ce soir, je connais un dirty pig qui va manger le cul d’une grosse salope…
    
    Elle était décidément charmante.
    
    Effectivement, le soir, elle m’en avait fait manger une sacrée dose. Et pour ce qui est d’être salope, elle s’était surpassée.
    
    On était dans la chambre d’amis. Elle m’avait fait m’allonger sur le lit et s’était mise debout au-dessus de moi en me tournant le dos. Lentement, elle s’était accroupie et était venue s’asseoir sur mon visage. Elle s’amusait à m’étouffer entre ses fesses dodues. J’avais attendu ça toute la journée, je me régalais. Elle observait mes réactions et semblait apprécier le spectacle. Elle insistait lourdement et longtemps. Ça l’excitait et, pour mon plus grand plaisir, elle mouillait beaucoup.
    
    Elle a recommencé à dire des choses pas propres. Toujours accroupie, elle s’écartait les fesses, elle s’appliquait à frotter son sexe et toute la raie de son cul sur mon visage. Elle disait qu’elle était toute sale, que c’était à cause de moi qu’elle était sale comme ça, il fallait bien que je nettoie. Alors j’ai nettoyé.
    
    Mais elle ne m’a rien épargné et s’est un peu oubliée. ...
«12...567...10»