Londres à mi-temps
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
jalousie,
miroir,
vidéox,
ffontaine,
Masturbation
Oral
fsodo,
coprolalie,
jouet,
attache,
confession,
Auteur: Félix X elle, Source: Revebebe
... d’autre. Elle pouvait aussi l’avoir pratiquée avec d’anciens partenaires et avoir remis ça récemment. Avec elle, on ne pouvait rien exclure.
Le miroir de la porte était parfaitement orienté dans l’axe du lit. On a ôté l’essentiel de nos vêtements et, une fois n’est pas coutume, elle a pris la direction des opérations en me forçant à m’allonger. Tournant le dos au miroir, elle est venue s’asseoir sur moi. Je l’avais raide et elle était plus que prête. Tous les indicateurs étaient donc au beau fixe. Je suis entré comme dans du beurre fondu. Divine sensation que celle de la sentir coulante à ce point. Elle avait une très grosse envie et j’allais la baiser comme un chef.
Elle ne m’a pratiquement pas adressé un regard. Elle était constamment tournée vers son miroir, dans lequel je regardais surtout son visage. Ce qui m’a surpris, c’est l’air extrêmement grave qu’elle avait. Un air sérieux et concentré. Le regard noir et sévère. Elle ne plaisantait pas. Elle était fascinée par le spectacle de ses fesses que j’écartais le plus largement possible de mes deux mains pour que le spectacle soit complet, fascinée de voir mon sexe humide se faire happer par le sien et en ressortir plus humide encore, et fascinée par la vision particulièrement obscène de sa rondelle dilatée qui semblait crier famine.
C’est qu’elle était vorace cette petite bête-là…
D’une main, elle a pris de la salive dans sa bouche et s’est badigeonné l’anus. Elle s’est saisie de son joujou, l’a allumé, et ...
... elle a commencé à s’enculer méthodiquement, toute seule comme une grande, pendant que je la baisais. S’il n’y avait pas eu le miroir, j’aurais pu penser qu’on était trois. Je sentais vibrer contre mon sexe l’objet qu’elle s’insérait et elle a réussi à se faire jouir plusieurs fois avant que je ne finisse par craquer et tout lâcher à mon tour.
Bon, je ne vais pas faire le malin, ça n’a pas duré une heure non plus.
Elle a longuement observé le spectacle de ma semence qui coulait sur mon sexe encore dur en dégoulinant du sien. Ensuite, elle est lentement remontée sur mon corps. Elle a hissé ses fesses jusqu’à ma tête et s’est assise sur mon visage. Elle m’a dit que je devais nettoyer les cochonneries que je venais de faire.
Je ne pouvais pas lui refuser ça. Insatiable, elle s’est mise à onduler du bassin en frottant son sexe sur ma bouche, mon menton, mon nez. Elle voyait bien qu’elle m’en mettait partout et m’a dit qu’elle aimait beaucoup me voir manger ce truc-là… ça lui avait manqué. Moi, brave soldat, je mangeais. Elle m’a agrippé par les cheveux, m’a forcé à appuyer plus fort et s’est fait jouir à nouveau.
Ce miroir, c’était du vrai cinémascope ! Et elle avait raison, c’était diablement efficace.
Un nouveau rythme s’est imposé à nous. Chaque mois, je passais deux semaines à Londres. Le jour, je travaillais dans son studio, sur mon ordinateur. Karen rentrait du travail vers les cinq heures et nous sortions beaucoup. Concerts, musées, restaurants, parcs, à Londres ...