1. Bien punie


    Datte: 06/10/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: Balthazard, Source: Histoires-de-Sexe.club

    Une fessée parisienne
    
    Je suis resté dans ma résidence « campagnarde », je m’étais attaché à mon petit pavillon, pendant cinq bonnes années mais promu à de plus hautes fonctions je dû me loger à Paris. Je finis par trouver un agréable studio donnant sur les quais de Seine. Je m’y installai fin août pour travailler au ministère. J’eus du mal à m’adapter à la vie trépidante de la capitale mais elle finit par me séduire avec tout ce qu’elle suppose de divertissements et d’activités variées. Le soir je traînais souvent dans les bars et les « boîtes » à la mode. Joli garçon, bien bâti, le mot facile, j’y fis bien des rencontres qui souvent se terminaient chez moi pour la nuit !… La vie heureuse d’un célibataire parisien. Les filles que je ramenais chez moi n’étaient pas toujours très « nettes » mais qu’importe, j’y prenais mon plaisir. Mon petit faible pour la fessée érotique n’était pas pour déplaire à certaines, d’autres le refusaient et je ne les revoyaient plus…
    Une fois pourtant, c’est une vraie fessée punition que j’administrai à l’une de mes conquêtes ! Elancée, une belle poitrine, des jambes superbes, la taille fine au dessus d’un fessier rond et ferme, c’était une bien jolie petite brune aux yeux noisette. Elle vint souvent mais, et ce fut bien sûr la dernière fois, je la surpris entrain de fouiller dans mon porte-feuilles que j’avais laissé sur une table basse pour y prendre deux billets de cent francs ! Quand elle s’aperçut que je l’observais son visage pâlit et se ...
    ... crispa, elle fit deux pas en arrière tenant toujours les billets à la main. Déçu comme pas possible je sentis la colère monter en moi et deux paires de gifles lui mirent le rouge aux joues. Clouée par la surprise, elle se laissa saisir par le bras. Je la tirai vers moi et m’asseyant sur le canapé je la fis basculer en travers de mes genoux. Troussant sa jupe et baissant sa culotte je me mis aussitôt à claquer de toutes mes forces son mignon postérieur ! Des cris de douleur ne se firent pas attendre, mêlés de supplications bredouillées parmi de gros sanglots. Couvrant la musique que j’avais mis en sourdine pour accompagner notre petite sauterie. J’eus peur qu’il n’ameutent les voisins mais il ne se passa rien. Je pus donc continuer à la fesser allègrement… Ayant retiré ma ceinture, c’est avec cet « instrument » bien mordant que je cinglais son postérieur déjà rougit par les claques. Elle criait et sanglotait de plus en plus fort pendant que je prolongeais son supplice. Après un bon quart d’heure de coups assénés sans pitié, son postérieur, écarlate, était marbré de traînées bleues laissées par la ceinture. La peau, boursoufflée, était creusée de sillons où le sang commençait à perler. Je continuai quand même à la fouetter sans pitié ! Je me suis arrêté lorsque ce sang coula largement sur ses fesses dévastées… Elle s’effondra sur le sol et c’est avec de grandes claques sur les fesses que je dû la faire se relever. Immobile, tétanisée, elle ne songeait même pas à se rhabiller, ...
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