1. 2 - Dénouement


    Datte: 14/09/2018, Catégories: fh, ff, ffh, parking, vengeance, photofilm, intermast, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, confession, extraconj, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... a pris ses aises et semble occuper toute la place.
    
    Ahhh ! Cri de plaisir ou de douleur ? Anne se tortille, comme pour desserrer l’étreinte sur ma bite. J’avance lentement, rampant le long de ce bâton rigide déjà en place de l’autre côté de la fine paroi. Ce serait plus facile si une vraie queue remplaçait le gode, plus souple, plus partageuse.
    
    Ahhh ! Toujours. Elle ne cesse de geindre, mais ne se dérobe pas. Enfin, j’y suis arrivé. À fond, bien au chaud, mais serré, étranglé comme dans la chatte d’une pucelle.
    
    Un instant, personne ne bouge. Anne surtout qui doit se sentir pleine. Je me penche sur elle pour la recouvrir de mon corps. Je ne peux m’empêcher de lui susurrer à l’oreille.
    
    — Alors, tu aimes ?
    — Oh oui que c’est bon. Jamais je ne me suis sentie si bien.
    
    Je lui sais gré de ne pas rappeler qu’elle a déjà vécu cela. Je me redresse pour la laisser plus libre de ses mouvements. Elle connaît le scénario. C’est celui qu’elle a testé à Paris. Je m’accroche à ses hanches. Elle commence à onduler du bassin, de gauche à droite, d’avant en arrière. Progressivement elle bouge sur nos deux bâtons. D’abord de toutes petites amplitudes comme pour prendre la mesure. Marie reprend ses tétons entre ses doigts et accompagne le mouvement. Moi je glisse une main entre leurs deux corps et l’immisce vers leur pubis. J’ai le privilège rare de pouvoir caresser deux clitoris en même ...
    ... temps.
    
    Oui ! Oui ! Oui !
    
    Anne ponctue chaque nouvelle pénétration de petits cris. Elle accélère son rythme, semblant perdre le contrôle. Elle se soulève si haut que ma queue sort de son cul, mais ma main la replace et elle s’empale à nouveau dessus. Son anus est maintenant ouvert et je m’engouffre plus facilement. Elle est déchaînée, hystérique. Elle parle, gémit. Sa voix est devenue rauque.
    
    Un cri. Strident, fort, comme une délivrance. Elle jouit. Sa jouissance coule. La mienne suit. Sperme trop rare de ma troisième éjaculation de la journée. Suffisant tout de même pour le voir suinter de l’anus après que ma verge ramollie glisse hors du trou.
    
    Quelques minutes après, tous trois reprenons notre souffle, allongés côte à côte sur le lit. Marie libère le gode et le donne à son amie, comme on donne un cadeau. Bel objet, à la fois dur et souple. Peut-être un peu trop dur. Ma queue garde le souvenir d’un contact un peu trop viril. Il est sûr qu’une verge d’homme serait plus agréable, autant pour Anne que pour moi.
    
    Je suis dans cette pensée alors que je remarque la photo de Marie avec son époux. Oui cet époux souvent absent et qui manque tant. C’est devenu un ami au fil des années. Il lui est arrivé de me confier ses aventures avec des passagères. Prestige de l’uniforme.
    
    Et si… Pourquoi pas… Je suis sûr qu’il serait d’accord… Lui, moi et Anne… Peut-être même tous les quatre… 
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