Les pilules de sexe (14)
Datte: 29/08/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Forkle, Source: Xstory
... de plus en plus vite, elle mouillait de partout et poussait de plus en plus de cris.
— Stop ! s’écria-t-elle.
Je me relevai intrigué, elle me repoussa et se mit dos à moi, les mains sur le dossier.
— C’est ta bite qui va me faire jouir ! J’aurai plus de forces après sinon. Défonce-moi la chatte ! m’ordonna-t-elle.
Elle était vraiment sexy et son air autoritaire en devenait presque séduisant. Je la pris par les hanches et glissai ma queue dans son sexe mouillé, lui arrachant un cri.
L’entendre gémir et crier à chaque coup de reins me rappela Ambre m’excitant encore plus. Me souvenir des courbes de cette séduisante sorcière me chauffait : ses gros seins, son cul bombé, sa sauvagerie et sa douceur.
— Oh putain ! Ouiii ! hurla Juliette en tremblant de plaisir.
Elle se cambrait et bougeait pour rentrer ma queue encore plus profondément dans son sexe. J’entrepris de malaxer ses fesses et de lui claquer le cul lui arrachant un gémissement plus long.
— C’est encore mieux qu’avant ! Oh bordel !
Ses cris d’excitation me poussaient à la pénétrer encore plus vite et plus fort, sa mouille commençait à tacher le canapé vert. J’en pouvais plus, je ...
... sentais que j’allais jouir d’une minute à l’autre : sa chatte serrée et trempée, son corps tremblant et frémissant, ses cris et halètements, tout me poussait à bout.
Je jouis d’un coup dans son sexe en poussant un long gémissement.
— T’arrête pas ! cria-t-elle.
J’attrapai ses seins tout en la pénétrant de plus en plus vite, bientôt elle lâcha un cri bien plus fort avant de s’effondrer sur les coussins. Elle reprit son souffle, fermant les yeux.
— Ça va ? demandai-je.
Elle commença à rire en se redressant.
— Je vais avoir mal quelque temps mais oui ! Tu vas devenir un excellent baiseur, me dit-elle.
— T’as pas baisé depuis combien de temps ?
— Depuis la dernière fois avec toi.
— T’es vachement chaude pourtant, dis-je en la prenant par les fesses.
Elle me repoussa gentiment.
— C’est bon, on a fini, me dit-elle sèchement.
J’acceptai ce qu’elle me disait, elle en avait visiblement eu assez. Je m’éloignai et pris mes vêtements.
— Ma sœur va pas tarder alors dégage, vite, ordonna-t-elle en se rhabillant.
— Je suis là depuis une heure...
On sursauta tous les deux avant de se tourner honteux vers l’escalier à quelques mètres.