Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère (2)
Datte: 28/08/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: mortimer60, Source: Xstory
En cette fin d’après-midi d’été, il faisait décidément bien chaud dans l’appartement de Monique ! Légèrement sonnés par l’intensité de ce moment, et repus de sexe, nous nous caressions gentiment en attendant que la tension baisse.
Monique, que je croyais encore assez pudique, me prouva vite le contraire : sans aucune gêne, elle m’expliqua à quel point elle avait apprécié ma façon de lui faire l’amour, et ajouta, avec un sourire coquin, que nous nous étions très vite « trouvés ». Et elle me confia même qu’entre ma langue « délicate » et ma belle queue, elle allait encore se régaler, bien plus qu’avec son mari ! J’étais bien incapable de lui en dire autant, à cause d’un reste de timidité... aussi je préférai promener ma langue un peu partout sur son corps, ce qui n’avait pas l’air de la contrarier ; elle était au contraire de plus en plus réceptive à mes caresses, ce qui m’incita à utiliser aussi mes mains un peu partout. Mais alors que je me rapprochais petit à petit de sa belle chatte encore humide, et qu’elle manifestait son accord par des soupirs non équivoques, elle se redressa d’un bond : Mon Dieu quelle heure est-il ? Jean-Luc va rentrer !
Son fils Jean-Luc était censé depuis toujours être « mon copain » (même si nous n’avions rien ou presque en commun). Mais de là à me trouver au lit avec sa mère...
Monique se leva donc en vitesse, et commença par ouvrir les fenêtres pour aérer au plus vite, oubliant qu’elle était en tenue d’Eve ! Si je fus frustré de la voir ...
... s’éloigner, je fus aussi ravi de pouvoir la regarder à poil. Elle bougeait avec une grâce surprenante, et le mouvement simultané de ses seins et de ses fesses me semblait le comble de l’érotisme. En passant près de moi, elle me jeta un regard coquin, mais m’échappa quand je tentai de l’attraper au passage. Non, pas maintenant, rhabille-toi, il va arriver ! J’obtempérai, tout en lui faisant remarquer la tache qui ornait le canapé ! Rouge de confusion, elle trouva un plaid à jeter dessus... en espérant que son fils n’allait pas choisir de s’assoir là. Une fois habillés tous les deux (je l’avais un peu retardée en prétendant l’aider à accrocher sous soutif) nous repartîmes dans un long baiser, qu’il fallut interrompre brutalement, une clé tournant dans la serrure.
Je n’eus que le temps de me jeter sur l’annuaire (mon prétexte de visite) pour me donner une contenance, quand dans l’entrée apparut Jean-Luc. Un peu surpris de me trouver là, il ne parut rien remarquer de spécial, et se montra attentionné avec sa mère, s’inquiétant de son moral visiblement fragile. Tout en le rassurant, Monique me fit un énorme clin d’œil, signe que le moral allait déjà beaucoup mieux ! Alors que son fils était sorti un instant, Monique, sans se lever de son siège, recommença à se caresser lentement les seins, tout en passant un petit bout de langue sur ses lèvres et en me regardant d’un air provocateur. Hypnotisé, j’étais incapable de détacher mes yeux du spectacle qu’elle m’offrait, tandis que mon ...