1. Petite Nathalie.


    Datte: 28/08/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... encouragé, augmenta la cadence de ses coups de reins. Nathalie remuait la tête en tous sens. La queue en coulissant faisait un bruit mouillé, ponctué de flocs sonores.
    
    J’étais aux anges, seul ma verge baignant dans son sperme était la virgule désagréable de l‘instant. Mais je bandais toujours ! Avec une énorme envie de me faire jouir. Le sang cognait dans mes tempes, alors que je voyais devant mes yeux Manu s’agiter plus vite dans le cul de Nathalie. Qui poussait maintenant des cris perçant.
    
    Malgré une apparence stricte, Nathalie s’avérait apprécier véritablement le sexe.
    
    Manu se coucha sur le dos et Nathalie vint s’empaler sur son sexe dressé, je vis à nouveau disparaître la colonne de chair dans le gouffre humide. J’écartais les globes fessiers de la jeune fille, je m’avançai et pointais ma verge à l’entrée de son anus. Je n’eus guère à forcer. En quelques glissements je pus investir le lieu sans peine. Je commençai à bouger en rythme avec Manu, sentant son dard de l’autre côté de la fine paroi. La sensation était divine. J’avais à la fois le plaisir d’être dans le cul de la fille et celui d’avoir l’impression de branler ma queue sur celle de mon pote. La sensation était absolument extraordinaire.
    
    Et que dire de Nathalie, qui faisait son possible pour ne pas gueuler son plaisir afin de ne pas ameuter l’immeuble, mais elle poussait des miaulements qu’elle ne pouvait pas contenir.
    
    Elle fut secouée par un premier orgasme, puis un second tout de suite après, ...
    ... tandis que nous nous activions toujours en elle. Mais alors que je hissais mon regard par-dessus l’épaule de Nathalie, je découvrais avec stupeur une femme qui nous observait.
    
    Elle était décomposée devant la scène qui se jouait sous ses yeux. S’ébouriffant les cheveux à l’aide de ses deux mains elle déserta les lieux. Paniquée Nathalie ne savait que faire. Du genre diplomate en la matière je me proposais d’aller voir la mère et de discuter avec elle. Après l’avoir chercher dans les pièces principales, je me décidais d’aller toquer à la porte de sa chambre. Où elle se tenait assise sur son lit le visage dans les mains.
    
    -Fiche le camps de ma chambre ! Cria cette dernière en me voyant.
    
    Je lus sur son visage une immense tristesse.
    
    - Mais pourquoi ? S’enquérait-elle.
    
    Je n’hésitais pas une seconde, je pris le parti de la franchise en prenant place à côté d‘elle, oubliant ma nudité. Elle fut assez surprise de ma confession. Tentant de la consoler par la suite, de douces paroles. Elle se fit même coquine, excitant mon désir par quelques tendres phrases. Je ne résistais pas longtemps à l’offensive de la mère. Je pris même l’initiative de la débarrasser de sa culotte. Dans laquelle je plongeais ma tête. Elle était toute chaude, et sentait bon.
    
    Puis je pris sur moi de m’allonger sur elle. D‘exciter les lèvres de son sexe avec mon pénis. Celui-ci était étonnement inondé de désir. Je prolongeai longtemps l’agréable sensation que me procurait la douce muqueuse. Quand enfin, ...