Le dressage de ma famille (3)
Datte: 27/08/2023,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: queldroma, Source: Xstory
... m’embrasse, je sens son souffle court. Mon membre se réveille, mon réveil sonne.
Blasé, je me lève et laisse maman sur sa faim pour l’embarquer dans nos ablutions matinales et partir au travail et école. Je suis soulagé, ma sœur ne s’est heureusement réveillée qu’en retard et ne nous a pas vus sortir ensemble de la salle de bain.
Je suis très nerveux et inattentif aux cours, en attendant le téléphone de Cyril. La sonnerie retentit en beau milieu du cours de maths, je m’excuse en sortant. Le prof n’a pas le temps de me répondre.
— Bonjour, dis-je d’une voix calme.
— Bonjour, dit la voix fâchée de l’autre côté du combiné.
— Que me vaut l’honneur de votre téléphone ? Je demande.
— Que tu es apparemment l’abruti qui a bouclé l’accès à mon jouet. Dit-il très fâché.
— Je suppose donc que tu es le monsieur qui fait du chantage à ma Lucie d’amour. Dis-je d’un calme qui m’étonne moi-même.
— Je ne fais pas de chantage, c’est elle qui s’est offerte à moi. Réplique-t-il.
— Ce n’est pas ce que j’ai eu comme information. Dis-je.
— On s’en fout, donne-moi ce putain de code de merde et fissa. Dit-il.
— Uniquement, si tu acceptes ce qui... Commencé-je.
— J’en ai rien à foutre de ta lettre. Crie-t-il. En arrière-plan, j’entends du papier que l’on déchire.
— Bien, puisque tu veux la jouer comme cela. J’envoie l’enregistrement de notre conversation à ta hiérarchie ainsi qu’à ta femme. Dis-je en espérant ne pas avoir à le faire. Une minute lourde de ...
... silence passe.
— Bon, j’accepte, je n’ai pas ce montant sur moi, je vais donc devoir choisir uniquement la fellation. Dit-il beaucoup plus calmement.
— Il tiendra parole, je pense. Ajoute ma mère depuis le téléphone puis raccroche.
Et me voilà anxieux et stressé sur le comment s’est passé leur petite séance.
À la sortie des cours et jusqu’à la maison, ma sœur, Anita, m’a harcelé pour savoir qui était cette mystérieuse personne pour qui j’ai couru dehors. Je me suis énervé contre elle histoire d’avoir la paix. Sa réaction est des plus intéressantes, elle s’est recroquevillée avec des yeux de chien battu. Je lui souris amicalement puis je passe la porte de l’appartement.
On fait le souper dans un silence gênant. La table mise, maman arrive en sueur et un peu fâchée. Je stresse instantanément. J’utilise toute ma logique pour contenir mes émotions.
— Bonjour, les enfants ! Avez-vous passé une bonne journée ? dit-elle d’une voix étonnamment calme.
— Une bonne journée pour moi. Répond Anita.
— Ça a été. Dis-je d’un bon français d’une voix un peu trop neutre pour être crédible.
On passe le souper puis une soirée tranquillement avec des discussions normales. Une fois ma sœur couchée, ma mère me rejoint dans ma chambre.
— Tu n’imagines pas l’enfer après ton coup de fil. Dit ma mère presque en pleurant.
— Je peux difficilement imaginer si tu ne me racontes pas. Lui dis-je en la prenant dans les bras pour un câlin réconfortant.
Elle me conte donc son ...