1. TGV


    Datte: 26/08/2023, Catégories: fh, hplusag, ascendant, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral pénétratio, fsodo, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... professionnelle à la fois, quel bonheur. Je n’ai hélas jamais su dessiner, mais pour dessiner Jocelyne, j’aurais commencé par faire un huit, un beau « 8 » auquel j’aurais ajouté une tête, deux bras et deux jambes bien galbées. Elle a presque du mal à me reconnaître sans mon uniforme.
    
    — Mais dis donc, tu as décollé, toi, il faut que je t’engraisse un peu !
    — Ah non, surtout pas. J’en ai bavé pour retrouver cette forme et je tiens à la garder. Viande rouge ou poisson, haricots verts et carottes râpées !
    — Pourtant j’ai un haricot de mouton… tu te souviens ?
    — Si je ne m’en souvenais pas, je ne serais pas là. Mais je me souviens surtout des gigots d’une certaine brebis, dis-je en lui touchant les fesses.
    — Eh bien ! Si je m’attendais à te retrouver aussi en forme. Allez, raconte-moi tout.
    
    Je lui raconte les cinq années passées, presque six, en omettant bien sûr de lui dire que j’ai bourré ma bru pendant près de six mois. Elle me raconte combien c’est de plus en plus difficile, des clients de plus en plus exigeants et sans gêne, l’hôtel vieillissant sans moyens pour le rénover à cause de l’emprunt à rembourser.
    
    — Mais bon, j’aurai terminé les remboursements dans deux mois, quinze ans de galère pour un salaud. Je vais peut-être enfin sortir la tête hors de l’eau. Et dans une quinzaine, je fête mes cinquante ans. Tu restes jusque-là, dis ? Et pas de carottes râpées, ce jour-là. Je ferme exceptionnellement pour la journée et on fête ça avec toute l’équipe, ils l’ont ...
    ... bien mérité.
    — Je ne veux pas m’imposer comme un intrus dans cette petite fête…
    — Tu es mon invité. Tu sais, je n’ai qu’eux… et toi.
    
    Le séjour est particulièrement délicieux. Jocelyne profite pleinement de mon… « entraînement » sexuel. Bien sûr, elle est un peu plus jeune que moi, mais nous sommes de la même génération, et ça colle bien, très bien, même. Très vite, c’est de l’amour qui s’exprime, librement accepté et ressenti par les deux. C’est elle qui me propose de m’installer définitivement chez elle, sans que j’aie besoin de lui dire que rien ne me retient à Mâcon et qu’au contraire, je souhaite mettre de la distance.
    
    — Je vais vendre ma maison, ça nous fera un petit pécule.
    — Attention, mon gars. Cette maison ne t’appartient pas, du moins pas complètement. Depuis le décès de ton épouse, ton fils en possède la moitié.
    — Ah, tu crois ?
    — Sur les successions, crois-moi, je suis incollable, et pour cause.
    — Alors ça change tout. Eux qui sont dans un appartement qui va être trop petit avec le bébé, peut-être qu’ils voudront la récupérer…
    — Écoute, tu n’as qu’un fils, laisse-lui ta maison. Et on repart à zéro tous les deux. En cas de pépin, tu as une retraite convenable qui nous permettra de vivre. Moi, je cotise beaucoup pour avoir très peu, comme toujours dans le commerce. Mais mon emprunt terminé, c’est plus de cinq mille euros par mois que je peux réinvestir. Sauf que je ne peux pas tout faire, être au four et au moulin. Si ça t’intéresse, je t’embauche pour ...