Le cadeau de Gabriella (3)
Datte: 25/08/2023,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Blueberry89, Source: Xstory
... se teintent d’une couleur sombre.
— Gabriella qu’est-ce que tu fais ? Nous ne sommes pas seuls !
— Ugo dort. Il a dû boire pas mal à sa soirée, il décuve. En attendant, c’est comme si nous étions seuls...
— Tu es encore trempée... Ta douche a été agréable ?
— Oh oui, très agréable, mais j’ai très envie que tu me prennes, s’il te plaît ! J’attends ça depuis ce matin...
— Gabriella, grogne-t-il, tu as oublié ce que je t’ai dis tout à l’heure ?
Pour toute réponse, je grimpe sur lui, une jambe de chaque côté des siennes. Il aggripe mes fesses de ses mains et avec sa bouche, titille mes mamelons si sensibles. Il lèche, aspire goulûment tandis que mes doigts s’emmêlent dans ses cheveux. Je ne sais comment il arrive à libérer son membre mais lorsque je le sens durcir sous mes fesses, l’appel de la chair est si fort que je ne peux résister à l’empoigner pour le diriger droit vers mon sexe suintant de cyprine.
Son gland épais se fraye un chemin entre mes lèvres, retrouve la moiteur de mon désir pour s’y nicher profondément. J’essaie de retenir les gémissements qui veulent à tout prix s’enfuir, me mord les lèvres. J’ondule sur lui, féline et joueuse, le menant droit vers la folie.
J’attends qu’il ferme les yeux, emporté par la luxure, et me retire doucement pour venir poser son gland à l’entrée de mon petit trou, encore bien excité de son précédent traitement. Il ouvre grand les yeux dès qu’il comprend où je veux en venir et semble si heureux qu’une bouffée de ...
... fierté se bloque dans ma gorge. Je m’empale alors tout doucement sur son membre imposant, serrant les dents tandis que sa verge s’imisce centimètres par centimètres dans mon conduit si serré.
Je le sens me remplir petit à petit, comme jamais je ne l’ai été auparavant. Je sais qu’il se retient, me laissant le privilège de diriger cette première sodomie à ma convenance. Bientôt, j’arrive à me laisser glisser sans trop de douleur jusqu’à venir buter contre son pubis. Ses mains empoignent mes fesses, les écartent, laissant sa verge me pénétrer entièrement. J’attends quelques instants avant de commencer mon balancement, le temps de m’accoutumer à sa présence dans mes tréfonds. Le plaisir m’emporte alors quand le doux échauffement prend de l’ampleur à mesure que mon rythme augmente. Je suis transportée par ces sensations exquises et ne peut retenir un cri quand il commence à me donner quelques coups de bassins, sa nature reprenant le dessus.
Ses mains sur mes fesses imposent une cadence brutale et soudain je le sens se contracter sous moi. Je ne peux m’empêcher de le dévorer des yeux quand il atteint la jouissance, se déversant en moi en poussant une longue plainte. Ce qu’il est magnifique lorsqu’il jouit, j’en suis si retournée que je ne sens pas mon propre orgasme pointer le bout de son nez. Il déferle sur moi tel un tsunami d’émotion et je me retrouve emportée par ce plaisir inouï.
— Oh mon Dieu Gaby, ton cul est si divin... grogne mon père en enfouissant sa tête dans ...