1. Claire récidive


    Datte: 25/08/2023, Catégories: fffh, gymnastiqu, hsoumis, fdomine, humilié(e), odeurs, pied, Oral sm, yeuxbandés, confession, dominatio, Auteur: Unperson, Source: Revebebe

    Cela faisait plusieurs mois que je n’avais pas eu de nouvelles de Claire. Plus rien n’avait suivi son message m’engageant à renouveler notre rencontre la semaine qui avait suivi nos premiers contacts. Et je commençais à perdre espoir qu’elle me recontacte un jour, lorsque je reçus de nouveau un message :
    
    J’étais alors en train de boire un verre avec une amie, mais l’appel de Claire était trop fort. J’avais fini ma pinte quasiment cul sec et m’étais excusé auprès d’Ophélie. Il fallait que j’y aille. Tel un chien bien dressé qu’on appelle, je ne pouvais ignorer cette sollicitation. Pourquoi un gymnase ? Que pouvait bien avoir en tête cette diablesse ? J’en bandais d’avance !
    
    Le long de la route, j’élaborais des scénarii sur ce qui m’attendait. La seule chose dont j’étais convaincu était que j’allais passer un après-midi fort en sensation. J’étais encore loin de la vérité.
    
    Une fois le bus arrivé, j’eus une étrange hésitation. Pourquoi me rappeler plusieurs mois plus tard ? Qu’avait-elle pu faire pendant tout ce temps ? Avait-elle trouvé quelqu’un pour me remplacer ? Avait-elle fait goûter sa cyprine à la moitié de la ville ? Et puis qu’est-ce que j’en avais à faire… elle m’avait rappelé, non ? Je descendis finalement à l’arrêt « Gymnase ».
    
    Devant l’entrée, j’écrivis à Claire :
    
    Et je reçus cette réponse :
    
    Un vestiaire ? Tous mes fantasmes d’adolescent refirent surface, lorsqu’on s’imaginait ce qu’il se passait dans le vestiaire des filles, tous ces corps nus, ...
    ... enduits de sueur, toutes ces chattes à l’air libre, ces odeurs de sport et de phéromones. Hum, j’en frissonnais.
    
    Après avoir parcouru la moitié du gymnase où se tenait une séance de sport collectif quelconque, j’arrivais devant la porte du vestiaire. J’entrai, et exécutai précisément les ordres de Claire. Les lumières blafardes du vestiaire donnaient un côté glauque et excitant. J’avais froid à rester nu sur ce banc, mais cela ne m’empêchait pas de bander sévère.
    
    J’entendis une porte s’entrouvrir, une voix qui n’était pas celle de Claire me demanda de fermer les yeux, lorsque ce fut fait, on me mit un bandeau qui m’empêcha de voir autre chose que le noir le plus total. L’inconnue quitta ensuite le vestiaire et j’attendis ce qui me parut être une éternité, nu et aveugle, dans ce cloaque. Je me demandais ce que je faisais là et, pendant quelques secondes, ce qui me poussait à rester à poil ici en attendant je ne sais quoi. S’amusait-elle avec moi, voulait-elle me faire comprendre que je n’étais rien pour elle ? Allait-elle même venir ?
    
    La porte s’ouvrit de nouveau et j’entendis plusieurs personnes entrer sans que je ne puisse identifier précisément leur nombre. Instantanément, la pièce s’emplit d’une forte odeur de sueur. J’entendis des rires, on se moquait de moi. Puis Claire démarra un discours :
    
    — Mesdemoiselles, ce petit chien en train de bander est à nous pour l’après-midi. Il fera ce qu’on voudra… Pas vrai, petite pute ?
    — Oui, bégayé-je.
    — Ce petit chien aime ...
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