1. La cabine d'essayage


    Datte: 23/08/2023, Catégories: fh, ffh, hplusag, fplusag, jeunes, essayage, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme caresses, Oral nopéné, init, initiat, Auteur: Vixera, Source: Revebebe

    ... apeurées de Virginie.
    
    — T’inquiète, c’est mon mec… je n’ai pas vu le temps passer. Tu peux fermer la boutique s’teplaît ?
    — OK, si tu veux.
    
    La voix faisait demi-tour. Les deux filles entendirent un bruit de clés, récupérées manifestement sur le comptoir, puis quelques instants plus tard, le bruit caractéristique de la clenche dans la serrure confirmant la fermeture de la porte du magasin.
    
    — Il revient… murmura Virginie inquiète… je l’entends !
    — Et alors ? Tu n’as jamais été en sous-vêtements devant un garçon ?
    
    Elle lui tenait fermement les mains à présent pour l’empêcher de réagir.
    
    — Ah… euh… bonjour… je suis Antoine, l’ami de la vendeuse…
    
    Embarrassé par la vue de la jeune, Antoine voulait tourner les yeux, mais tentait en même temps de voler quelques images de ce spectacle imprévu.
    
    — Comment la trouves-tu ? Un avis masculin serait le bienvenu ! en plus je sais que tu es amateur de guêpières.
    
    Antoine reposa ses yeux sur le visage de Virginie. Elle était tétanisée.
    
    — Bien, enfin, je veux dire très bien, ce sera parfait, très sexy.
    
    Ce sera ? Bénédicte avait noté le futur dans la phrase. Virginie aussi et du coup avait levé des yeux interrogateurs sur Antoine. Mince, ce n’était plus une gamine, quoi ! Elle avait la majorité !
    
    — Non, je veux dire C’EST… c’est juste que… enfin bon… tu vois quoi…
    — Non, je ne vois pas !
    
    Les deux filles auraient pu répondre en même temps.
    
    — Ben, c’est une guêpière seins nus ? Et elle porte un ...
    ... soutien-gorge. En plus, cet ensemble rose est super mignon, mais… les deux ensemble… c’est pas terrible, terrible.
    — Là, tu marques un point, je le reconnais ! dit Bénédicte.
    
    Virginie, elle, n’avait pas pensé à cela. Cependant, elle n’eut pas le temps de réfléchir. L’ordre tomba sèchement :
    
    — Enlève le soutif !
    
    Virginie redevint rouge pivoine.
    
    — Allez, ne fait pas ta chochotte, vire-le. En plus tu as des seins magnifiques. Tu vas voir, Antoine, ils sont comme tu les aimes. Et en plus, ils réagissent au quart de tour !
    
    Comme une automate, Virginie dégrafa son haut. Elle le retira ensuite en prenant soin de mettre ses mains devant sa poitrine. Le regard d’Antoine avait changé…
    
    — Mets tes mains sur tes hanches, lui ordonna Bénédicte.
    
    Maladroitement, timidement, Virginie s’exécuta. Ses yeux croisèrent ceux d’Antoine. Elle crut y lire de l’envie. Cela l’excita imperceptiblement :
    
    — Vas-y, touche-lui les seins, murmura Bénédicte. Tu vas voir, je ne t’ai pas menti.
    
    Alors, comme deux robots serviles commandés par Bénédicte, deux esclaves d’une tension érotique incontrôlée, Antoine s’approcha doucement de Virginie qui se laissa faire et, après lui avoir caressé ses seins, il lui pinça délicatement leur extrémité. Cette dernière, par défi, le fixait dans les yeux. Sa bouche s’ouvrit légèrement. Elle aimait, malgré elle, cette sensation nouvelle, ce premier contact de mains masculines sur ses seins. Bénédicte, sournoisement, profita de ce moment pour descendre d’un trait ...
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