1. Ma mère et moi : plaisirs charnels (2)


    Datte: 14/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Eros74, Source: Xstory

    ... cyprine coulant de sa cramouille trempée. La vue que j’avais en rampant était magnifique ; d’abord, je vis, au-dessus de son ventre un peu rebondi et de son pubis poilu, ses gros seins aux tétons érigés, qu’elle pressait l’un contre l’autre et faisait ballotter et balancer pour mon plus grand plaisir. Ensuite, je vis la fente velue de sa chatte, dégoulinant de son jus d’amour, puis, progressant toujours, je vis la raie de son cul entre ses superbes fesses, blanches, rondes et rebondies. Elle avait abondamment parfumé le tout. Je relevai la tête pour atteindre le trou de son cul, caché au fond de sa raie foncée tapissée d’un fin duvet brun. J’écartai ses fesses des mains pour pouvoir mieux loger ma langue à l’entrée de son petit trou, encerclé par la rosace de son sphincter. Un délice absolu ! Elle gémissait en me disant :
    
    — Oui, mon chéri, lèche mon trou du cul, suce-le, salaud, c’est trop bon ! Je suis ta cochonne de mère et tu me donnes du bonheur ! Mmmmm !
    
    — Oui, je lèche ton petit trou du cul bien chaud, ma salope de maman ! Tu es bonne, tu me donnes du plaisir ! Descends ta belle croupe sur mon visage, assieds-toi sur ma bouche, que je sente la douceur et la chaleur de tes fesses ! Mmmmm ! Et branle ma queue, maman chérie, pendant que je te lèche le cul ! Ah ! Quel bonheur, que tout cela est bon !
    
    — Oh, mon chéri, je vais jouir ! Je vais éjaculer mon jus d’amour sur ta poitrine !
    
    Je vais te caresser la queue et la sucer ! Je me baisserai vers elle et mon cul ...
    ... sera encore plus offert à ta langue !
    
    Je délirais…La raie sombre de son cul à hauteur de ma bouche, sa chatte velue et trempée sur mon menton et ma gorge, j’écartai les globes satinés de ses fesses pour enfoncer d’abord ma langue dans son petit trou, puis un index que j’avais abondamment mouillé de ma salive. Elle cria sa jouissance et enfonça profondément ma bite dans sa bouche, avec un grognement, me palpant et me caressant les bourses.
    
    Tout cela dura un long moment, divin, avec nos halètements et nos soupirs respectifs : moi qui excitais, alternativement de la langue et du doigt, son trou du cul, parcourant aussi de la langue sa fente aux parois tapissées d’un duvet sombre ; elle qui allait et venait avec sa bouche humide sur ma trique et son gland. Elle éructait des cochonneries que je comprenais à peine, sa bouche étant pleine de mon gros bâton de viande.
    
    C’est finalement, après cela, que ma mère jouit en premier lieu, hurlant comme une sauvage avec une série de spasmes et de sursauts, engendrant un volumineux et chaud jet de fluide mêlé d’un peu d’urine diluée, comme toutes les femmes fontaines, et qui gicla abondamment sur ma poitrine et mon ventre. C’en était trop pour moi ; je criai :
    
    — Maman, salope que j’aime, je vais jouir !!! Je vais juter !!! Je viens !!!
    
    Contrairement à ce qui s’était passé dans ma chambre la veille, elle ne tenta pas de s’écarter et garda ma pine en bouche …L’orgasme vint, fulgurant et délicieux. Plusieurs jets de sperme chaud ...
«1...3456»